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100 films pour Cannes 2017 : classement de 41 à 60

26 mars 2017
Thomas
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26 mars 2017
3 Comments

3e volet de notre liste des 100 films candidats pour Cannes 2017

9 Doigts
9 Doigts
fjossang2

60
9 DOIGTS
F.J. Ossang (france)

Cinéaste culte pour les uns (L’affaire des Divisions Morituri présenté à Cannes en 1985, Docteur Chance à Locarno en 1998, Dharma Guns à Venise 2010), auteur-poète situationniste et poseur pour les autres, le très rare F.J. Ossang a convoqué la fine fleur des jeunes acteurs en vogue français pour son retour, Paul Hamy, Damien Bonnard et Gaspard Ulliel (avec aussi Pascal Greggory). Un film en noir et blanc tourné à l’ancienne sur pellicule.
notre avis // quinzaine des réalisateurs – ouverture

58
EL SILENCE DE LA VENTE
Alvaro Aponte Centeno (porto-rico) 1er film

Déjà remarqué au Festival de Cannes concourrant à la Palme d’or du court métrage en 2012 (Mi Santa Miranda), le jeune porto-ricain a remporté un vif succès partout dans le monde avec son projet de long métrage raflant des primes au développement à San Sebastian ou Doha : un homme, qui tente de subvenir à ses besoins en favorisant l’immigration illégale de dominicains vers le Porto Rico, doit faire face à la mort de sa soeur.
notre avis // séance spéciale

59
UNA ESPECIE DE FAMILIA
Diego Lerman (argentine)

Avec ses deux derniers films présentés à la Quinzaine des Réalisateurs, L’oeil invisible (2010) et Refugiado (2014), l’argentin Diego Lerman est un candidat sérieux pour une place à Cannes cette année, en sélection officielle cette fois. Lerman continue de portraitiser son pays après s’être attardé sur l’histoire plus ou moins récente de l’Argentine. Dans Una Especie de Familia, la star espagnole Barbara Lennie embarque pour un road-movie à travers le pays. Une actrice que connait bien le président Pedro Almodovar qu’il a dirigée dans La Piel que Habito en 2011.
notre avis // compétition

El Silencio de la Vente
El Silencio de la Vente
Una Especia de Familia
Una Especia de Familia

57
LUNA
Elsa Diringer (france) 1er film

La fidèle productrice Muriel Meynard (Agat Films) a soutenu tous les courts métrages d’Elsa Diringer. La collaboration se poursuit avec son premier long « l’histoire d’un amour impossible autour du très beau personnage de jeune fille de 17 ans ». Les premiers retours parlent d’un scénario très fort passé par les ateliers d’Angers en 2013. Avec Rod Paradot (La Tête haute) et la jeune débutante Laëtitia Clément, repérée dans un casting sauvage devant un lycée nîmois, qui pourrait bien faire partie des révélations de Cannes 2017 (comme son partenaire a pu l’être en 2015).
notre avis // semaine de la critique

56
MADAME HYDE
Serge Bozon (france)

Premier des nombreux « huppert films » à postuler à Cannes cette année, le nouveau film de Serge Bozon a déjà défrayé la chronique au début de son tournage l’année dernière quand Gérard Depardieu a abandonné le plateau du jour au lendemain. Depuis, Bozon a ajusté comme il peut le tir avec sa complice à l’écriture Axelle Ropert et confié le soin à José Garcia de donner la réplique à Isabelle Huppert et Romain Duris. Serge Bozon et ses comédies surréalistes et fantastiques viseront la passe de trois à Cannes après La France et Tip Top (Quinzaine des Réalisateurs 2007 et 2013)
notre avis // un certain regard

Madame Hyde
Madame Hyde
War Machine
War Machine
Jeune Femme
Jeune Femme
Charleston
Charleston

55
WAR MACHINE
David Michôd (états-unis)

War Machine nous permet une première explication de texte concernant l’imbroglio Netflix et Cannes. À en croire les dernières nouvelles, la grande firme américaine SVoD est bien décidée cette année à viser une première cannoise en Sélection, quitte à différer la sortie sur sa plateforme pour créér l’exclusivité essentielle à la notoriété et l’exigence du Festival. Ce serait une première pour Cannes mais l’appétit – et le porte-monnaie – de Netflix aura sans doute raison des règlements originels, du Conseil d’Administration et surtout de la grogne des exploitants pour attirer dans ses filets le nouveau film de David Michôd (Animal Kingdom, The Rover) et le retour annoncé de Brad Pitt sur la Croisette.
notre avis // hors compétition

54
JEUNE FEMME
Léonor Serraille (france) 1er film

Shellac continue son travail de soutien auprès des jeunes auteurs et mise ici sur Jeune Femme, le premier long de Léonor Serraille, initié comme un travail de fin d’études à la Fémis en 2013. Le premier rôle est confié à Laëtitia Dosch, dans un personnage inconoclaste et lunaire lâché par son compagnon dans la capitale alors qu’elle vient d’y débarquer pour le retrouver.
notre avis // ACID

53
CHARLESTON
Andreï Cretulescu (roumanie) 1er film

Héritier de la renaissance du cinéma roumain (minimalisme, naturalisme et virtuosité subtile des mises en scène), Andreï Cretulescu n’en demeure pas moins un réformateur stylistique avec des plans-séquence époustouflants au service du cinéma de genre déjà remarqué dans ses premiers courts métrages. Son premier long devait s’appeler Charlton Heston. Il est devenu Charleston. L’humour roumain sans doute.
notre avis // semaine de la critique

52
LA PART SAUVAGE
Guérin van de Vorst (belgique) 1er film

D’abord court métrage à succès, Guérin van de Vorst a bouclé la version long format de La Part sauvage avec Vincent Rottiers et Salomé Richard (révélation de Baden Baden) en têtes d’affiche : le parcours intime d’un délinquant au moment de sa sortie de prison après 3 ans d’enfermement, entre travail de réinsertion et petites récidives, un dur retour à la vie.
notre avis // quinzaine des réalisateurs

51
LES BONNES MANIÈRES
Juliana Rojas, Marco Dutra (brésil)

Après quelques encartades plus ou moins réussies en solo, Juliana Rojas et Marco Dutra refont la paire après le succès de Travailler fatigue en 2011 (Un Certain Regard). Le film s’appelle Les Bonnes Manières un conte fantastique au coeur de São Paulo, l’histoire d’un enfant loup-garou élevé parmi les hommes dans la plus grande, plus riche, plus moderne et contradictoire ville du Brésil. Un étrange et très excitant geste cinématographique autour de l’instinct maternel et un portrait en creux du pays carioca tout entier.
notre avis // un certain regard

Les bonnes manières
Les bonnes manières
La Villa
La Villa
One Step behind the Seraphim
One Step behind the Seraphim
Laissez bronzer les cadavres!
Laissez bronzer les cadavres!

50
LA VILLA
Robert Guédiguian (france)

On ne se lasse pas de prendre des nouvelles de Robert Guédiguian, l’Estaque et la cité phocéenne, personnage inépuisable de son oeuvre passionnante. De retour parmi les siens après des infidélités en Arménie, Guédiguian a coécrit une « Cerisaie » à la sauce méridionale avec l’auteur Serge Valletti et renoué avec « sa » troupe de coeur et d’âme : Jean-Pierre Darroussin, Gérard Meylan, Ariane Ascaride, Jacques Boudet, et Anaïs Demoustier.
notre avis // séance spéciale

49
ONE STEP BEHIND THE SERAPHIM
Daniel Sandu (roumanie) 1er film

Déjà à l’affiche de Hier du hongrois Balint Kenyeres, Vlad Ivanov l’acteur fétiche de la nouvelle vague roumaine est annoncé dans un autre premier film, celui du roumain Daniel Sandu One Step behind the Seraphim. La vie dans un lycée orthodoxe au milieu des étudiants aspirant prêtres, sujets à de curieuses expériences.
notre avis // un certain regard

48
LAISSEZ BRONZER LES CADAVRES!
Hélène Cattet, Bruno Forzani (belgique)

Les deux auteurs se sont, au fil des films, taillés une bonne réputation de frapadingo-cultes auprès de nombreux cinéphiles. Après Amer et L’étrange couleur des larmes de ton corps, leur adaptation très attendue du roman noir de J-P. Manchette a des allures de western fantastique, avec Elina Lowensohn (icône des premiers Jean-Pierre Jeunet et vue chez Hartley, Spielberg, Hausner ou Grandrieux).
notre avis // quinzaine des réalisateurs

47
DRÔLE DE PÈRE
Amélie Van Elmbt (belgique)

Premier long remarqué et sélectionné à l’ACID en 2012 (La Tête la première), Amélie Van Elmbt a marqué les esprits de son cinéma malicieux et littéraire. Dans la famille Doillon, celle qui invitait le père Jacques réalisateur à jouer l’écrivain dans ce premier film, s’est payée le luxe d’offrir à la fille Lina ses débuts devant la caméra dans Drôle de père, son deuxième long avec aussi Alice de Lencquesaing (Réparer les vivants), Judith Chemla (Camille redouble) et Thomas Blanchard (Le Voyage au Groënland).
notre avis // semaine de la critique – séance spéciale

jacquesdoillon
Rodin

46
RODIN
Jacques Doillon (france)

Pour tous les heureux lecteurs du passionnant Sélection Officielle (éd. Grasset), le journal de Thierry Frémaux, l’affection et la relation qu’entretient le Délégué Général avec Vincent Lindon est toute singulière. Sans parler de connivence excessive, il serait étonnant que le Festival laisse filer Rodin le film de Jacques Doillon consacré au sculpteur, près de 30 ans après le Camille Claudel de Bruno Nuytten (Depardieu/Adjani).
notre avis // hors compétition

45
NOS ANNÉES FOLLES
André Téchiné (france)

L’un de nos plus illustres auteurs en activité n’a jamais semblé aussi prolixe. Après le remarquable Quand on a 17 ans, Téchiné adapte au cinéma un célèbre fait divers du début du 20e siècle coécrit avec Cédric Anger. Un déserteur décida de se travestir en femme pour échapper aux champs de bataille, avec la complicité de son épouse. Une histoire déjà évoquée dans un roman et une bande-dessinée, un sujet très fort dont la sortie France est déjà calée par ARP en septembre 2017. Avec Pierre Deladonchamps, Céline Sallette, Grégoire Leprince-Ringuet et Michel Fau.
notre avis // compétition

44
24 FRAMES BEFORE AND AFTER LUMIERE
Abbas Kiarostami (iran)

Juste avant de quitter la lumière pour toujours, le géant Abbas Kiarostami a travaillé pendant 3 ans sur un projet peu commun comprenant 24 courts-métrages de près de 5 minutes chacun. Quel plus bel écrin que le 70e Festival de Cannes, son anniversaire et les hommages qui vont avec pour une présentation en grande pompe. Un projet que nous évoquions déjà dans notre liste l’an dernier.
notre avis // un certain regard

43
YOU WERE NEVER REALLY HERE
Lynne Ramsay (grande-bretagne)

Déjà 6 ans que son dernier film We need to talk about Kevin a connu les honneurs de la Compétition. Encore un titre XXL pour ce nouveau film cette fois avec Joaquin Phoenix : les mésaventures d’un vétéran de la guerre devenu spécialiste du sauvetage de prostituées prises dans les filets du trafic d’êtres humains et qui se retrouve pris pour cible parle Milieu à Manhattan.
notre avis // compétition

Le Fidèle
Le Fidèle
Jeunesse de Shanghai
Jeunesse de Shanghai

42
LE FIDÈLE
Michael R. Roskam (belgique)

Pour ce retour à l’Europe après son escapade hollywoodienne, le réalisateur de Bullhead s’est adjoint les services des co-scénaristes Thomas Bidegain (Un prophète, Saint Laurent) et Noé Debré. Et comme un retour peut en cacher un autre, Roskam retrouve sa révélation Matthias Schoenaerts dans une histoire d’amour noire sur fond de guerre des gangs à Bruxelles dans les années 1990. Avec aussi Adèle Exarchopoulos.
notre avis // compétition

41
JEUNESSE DE SHANGHAI
Wang Bing (chine)

Place au documentaire pour l’un des cinéastes chinois les plus passionnants de sa génération. Wang Bing a passé un an auprès de jeunes provinciaux débarquant à Shanghai pour y travailler et survivre financièrement. Des vies vouées au sacerdoce, une cohabitation des plus précaires directement sur leur lieu de travail. Une immersion dans cette intimité masculine et déshumanisée. À Berlin en février dernier, Eric Lagesse (Pyramide) l’annonçait « prêt pour Cannes ou Venise ».
notre avis // compétition

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The Author

Thomas

3 Comments

  • Fan de cinéma
    1 année ago

    Laetitia Clément dans Luna d’Elsa Diringer devenue actrice par hasard et par chance étonnera le public par la justesse du jeu et une sensibilité particulière !!!

  • Thomas
    1 année ago

    Oui hâte de la découvrir aussi

    Merci pour votre lecture,

    Thomas

  • FAN DE CINEMA
    1 année ago

    Reportage TV Sud sur le film Luna

    http://www.tvsud.fr/?keys=Luna+elsa+diringer

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