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100 films pour Cannes 2018 : classement de 1 à 20

4 avril 2018
Thomas
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4 avril 2018
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Dernier volet de notre liste des 100 films candidats pour Cannes 2018

 

Un peuple et son roi
Un peuple et son roi
pierreschoeller2

20
UN PEUPLE ET SON ROI
Pierre Schoeller (france)

Après deux premiers films saisissants et en tous points remarquables, Versailles (avec Guillaume Depardieu) et L’Exercice de l’Etat (avec Olivier Gourmet et Michel Blanc), tout ce que la planète cinéma hexagonale comporte d’acteurs et actrices sur le devant de la scène a fait le pied de grue pour participer au nouveau long métrage de Pierre Schoeller. Le résultat s’appelle Un peuple et son roi, l’un des films français les plus attendus de l’année et forcément pisté vers Cannes. Une grande fresque ambitieuse sous la Révolution Française avec un casting étoilé long comme une équipe de rugby : Gaspard Ulliel, Adèle Haenel, Olivier Gourmet, Louis Garrel, Izia Higelin, Noémie Lvovsky, Céline Sallette, Denis Lavant et Laurent Lafitte entre autres.
notre avis // hors compétition

19
THE BEACH BUM
Harmony Korine (états-unis)

« Harmony Korine fait tout pour rendre une copie à temps pour Cannes ». On le croyait hors des signaux, et encore en tournage ce printemps, les sirènes de la Croisette pourraient bien faire tourner la tête du vilain petit canard indé US si l’on en croit certaines sources. Il faut dire que le nouveau film de l’auteur des quasi-sanctifiés Trash Humpers et Springbreakers donne des envies de sélection 2018 : une comédie sur des fumeurs de marijuana un peu dépressifs et zonards à Key West avec Matthew McConaughey, Snoop Dogg et Zac Efron ! Harmony Korine rêve de le montrer dans des salles avec des volutes de marijuana, « c’est possible dans certains Etats américains, nous avons déjà une trentaine de salles qui ont accepté ».  Sûr que la grande salle Lumière est prête à accueillir un tel dispositif !
notre avis // compétition

The House that Jack built
The House that Jack built

18
THE HOUSE THAT JACK BUILT
Lars von Trier (danemark)

Le retour du banni ? Festival de Cannes 2011 : Lars von Trier dérape en conférence de presse lors de la présentation du magnifique Melancholia, maladroitement provoc ou assurément stupide, il joue au feu et à la petite blague « nazifiante ». Résultat le soir, une bronca dantesque avant la projection officielle, et une exclusion sine die en plein festival. Sept années ont passé, Nymphomaniac a vécu sans Cannes, et Lars von Trier a finalisé l’histoire d’un tueur à gages raconté sur une douzaine d’années, montrant ses meurtres et la manière dont il devient petit à petit un tueur en série. Avec Matt Dillon, Riley Keough, Uma Thurman et Bruno Ganz.
notre avis // compétition

17
UNDER THE SILVER LAKE
David Robert Mitchell (états-unis)

Déjà haut placé dans notre liste 2017 (n°10), notre attente ne s’est pas atténuée en 2018 pour le sélectionné 2014 à la Semaine de la Critique avec l’excellent et horrifique It follows (Grand Prix à Gérardmer la même année). David Robert Mitchell s’essaie au film noir (et blanc) pour son troisième long métrage Under the Silver Lake, avec Andrew Garfield et Riley Keough (décidément une potentielle reine de notre Cannes 2018). D’après quelques insiders, Thierry Frémaux l’aurait coché il y a déjà bien longtemps sur sa wishlist US pour la compétition.
notre avis // compétition

16
HEUREUX COMME LAZZARO
Alice Rohrwacher (italie)

On ne sait que peu de choses du nouveau film écrit et réalisé par Alice Rohrwacher (Le Meraviglie, Grand Prix du Festival de Cannes 2014). Premier d’une colonie italienne fournie et potentiellement omnipotente en compétition cette année (tous évoqués dans ce dernier volet), Heureux comme Lazzaro mettra en lumière les deux débutants Adriano Tardioli et Luca Chikovani accompagnés de Nicoletta Braschi, Sergi Lopez et la petite sœur Alba (Rohrwacher).
notre avis // compétition

Amanda
Amanda
Loro
Loro
Burning
Burning
Dogman
Dogman

15
AMANDA
Mikhaël Hers (france)

Douce mélancolie et langueurs musicales : en quelques films (Memory Lane, Ce sentiment de l’été) l’esthète Mikhaël Hers s’est solidement taillé une réputation de cinéaste de l’intuition. Après quelques premières projections privées et des retours impressionnants, on ne serait pas étonné que la bonne surprise française se prénomme Amanda, un mélo avec Vincent Lacoste et Stacey Martin. « Loin de vouloir peindre le portrait d’une France cataclysmique, j’ai eu envie de travailler sur les relations humaines et le sensoriel, ouvrir le film sur cette béance de la vie si difficile à appréhender [la perte d’un proche dans un attentat, ndlr], mais dans une tonalité qui serait celle de la tendresse. Une tendresse d’autant plus précieuse qu’elle persisterait malgré la mélancolie et la violence du projet » précise le réalisateur.
notre avis // compétition

14
LORO
Paolo Sorrentino (italie)

« Un biopic de Berlusconi incarné par Toni Servillo devant la caméra de Paolo Sorrentino » : ça en est presque risible tellement le pitch et le projet puent la Croisette ! Finalement coupé en deux parties pour la sortie sur les écrans italiens (24 avril et 10 mai), ce portrait du cavaliere a son fauteuil réservé pour la compétition cannoise. Dernière incertitude : quelle version concourra à la Palme d’or ? Simple compilation des deux parties à la manière du Che de Soderbergh ou montage « spécial Cannes » ? Thierry Frémaux nous dira tout le 12 avril.
notre avis // compétition

13
BURNING
Lee Chang-Dong (corée du sud)

Attendu depuis huit ans, le nouveau film de Lee Chang-dong est fortement pressenti sur la Croisette. Le réalisateur de Secret Sunshine ou Poetry a choisi pour son retour derrière la caméra une adaptation d’une nouvelle de Haruki Murakami. L’histoire d’une femme qui se retrouve impliquée dans un étrange accident avec deux hommes, dont l’un est écrivain. On retrouve au casting Steven Yeun vu dans Okja (Bong Joon-ho) l’an dernier.
notre avis // compétition

12
DOGMAN
Matteo Garrone (italie)

Dernier représentant transalpin de notre liste 2018, le nouveau film de Matteo Garrone, distribué par Le Pacte, promet de secouer la compétition à moins d’un énorme coup de théâtre. Dogman revient en effet sur l’un des faits divers les plus marquants commis en Italie à la fin des années 1980, un toiletteur pour chiens sous cocaïne torture et assassine un ancien boxeur devenu chef de gang.
notre avis // compétition

11
DONBASS
Sergei Loznitsa (ukraine)

Déjà de retour un an à peine après l’éblouissant Une femme douce ? L’ukrainien Loznitsa a tenu secret fin 2017 les dates précises du tournage pour des raisons de sécurité. Avec le roumain Oleg Mutu à la photo, le réalisateur a tourné un film à sketchs, des histoires réelles survenues sur les territoires occupés, où les personnages vont relier les différents épisodes entre eux.
notre avis // compétition

Maya
Maya
Birds of passage
Birds of passage
Mirai
Mirai
Sunset
Sunset

10
MAYA
Mia Hansen-Løve (france)

Après les coulisses de la French Touch et le quotidien d’une sexagénaire en pleine remise en question, c’est dans la tortueuse vie de Gabriel (Roman Kolinka déjà présent dans L’Avenir et EDEN) que s’immiscera Mia Hansen-Løve. Celle qui nous avait habitué au brouhaha des rues parisiennes ou à un calme estival, ancre cette fois-ci son récit dans de lointaines contrées avec aussi Judith Chemla, Alex Descas et l’actrice allemande Suzan Anbeh. Tout juste rentré de Syrie, un reporter de guerre retrouve sa maison d’enfance située à Goa dans le sud-ouest de l’Inde, en quête d’apaisement. Après des sélections à Berlin, on verrait bien Mia Hansen-Løve retrouver Cannes par la grande porte.
notre avis // compétition

9
BIRDS OF PASSAGE
Ciro Guerra, Cristina Gallego (colombie)

L’ascension continue pour Ciro Guerra, l’une des meilleures nouvelles données ces dernières années par le cinéma sud-américain. Après l’impressionnant L’Empreinte du Serpent et avant un projet en langue anglaise avec Robert Pattinson (Waiting for the Barbarians), le colombien a coréalisé avec son épouse Cristina Gallego Birds of passage « un western colombien avec une dose de tragédie grecque ».
notre avis // compétition

8
MIRAI
Mamoru Hosada (japon)

Hayao Miyazaki parti en (semi)-retraite, tous les yeux sont rivés vers Mamoru Hosada et les studios Chizu, nouveaux maîtres de l’animation nippone. Avec Mirai, leur dernier bébé, Hosada (Les enfants loups Ame & Yuki) pourrait bien permettre à Thierry Frémaux de casser les codes de la compétition pour y inclure ce conte poétique et familial racontant l’arrivée d’un enfant qui bouscule une famille. Ce serait une première pour un film de « japanimation », alors que Berlin a déjà délivré son Ours d’or à Miyazaki pour Le Voyage de Chihiro.
notre avis // compétition

7
SUNSET
Laszlo Nemes (hongrie)

Incontestable révélation du Festival de Cannes 2015, reparti avec le prestigieux Grand Prix pour son premier film, le francophile Laszlo Nemes a choisi, après les camps d’extermination nazis dans Le Fils de Saul, de revenir dans son pays natal à Budapest à la veille de la Première Guerre mondiale pour y raconter le parcours d’une jeune femme confrontée « à une civilisation qui plonge dans les ténèbres ». Après un tel raz-de-marée pour un premier long, on craint la baisse de régime toute légitime. On ne demande qu’à être contredit.
notre avis // compétition

6
THE SISTERS BROTHERS
Jacques Audiard (france)

Pas un jour ne passe sans que le film n’oscille entre Cannes et Venise/Toronto. Coécrit avec Thomas Bidegain, Jacques Audiard tente l’aventure américaine avec un casting de choix, Jake Gyllenhaal, Joaquin Phoenix, John C. Reilly, dans un western sur les frères Eli et Charlie Sisters envoyés régler leur compte à un prospecteur qui aurait volé leur patron. Ces dernières heures, la tendance était plutôt de retrouver sur la Croisette cette épopée pendant la ruée vers l’or américaine.
notre avis // compétition

5
LE POIRIER SAUVAGE
Nuri Bilge Ceylan (turquie)

Ses cinq derniers films ont connu la compétition. Une série couronnée d’une Palme d’or en 2014 avec Winter Sleep. Pour son nouveau film avec Memento, Nuri Bilge Ceylan promet de faire du Ceylan pur jus, peut-être même plus expérimental, une histoire au long cours centrée sur Sinan, un passionné de littérature ayant toujours voulu être écrivain; de retour dans son village natal d’Anatolie, il met toute son énergie à trouver l’argent nécessaire pour être publié, mais les dettes de son père finissent par le rattraper. « Le glissement inéluctable du destin d’un fils vers un destin similaire à celui de son père et raconté à travers une série d’expériences douloureuses » précise (dans un grand éclat de rire sic) le cinéaste turc.
notre avis // compétition

Radegund
Radegund

4
RADEGUND
Terrence Malick (états-unis)

Annoncé comme son retour à des films plus narratifs, le Terrence Malick de nos amours (La Ligne Rouge, The Tree of Life) sera-t-il de passage à Cannes ? Un film biographique sur l’objecteur de conscience autrichien Franz Jägerstätter de la première moitié du XXe siècle, avec August Diehl, Matthias Schoenaerts, Bruno Ganz et le regretté Michael Nyqvist. On veut y croire.
notre avis // compétition

3
THREE FACES
Jafar Panahi (iran)

Condamné à six ans de prison et à vingt ans d’interdiction d’exercer son métier et de sortie du territoire, le cinéaste iranien Jafar Panahi continue néanmoins de vivre. Multi-primé dans divers grands festivals internationaux, Ours d’or à Berlin avec Taxi Téhéran, il filme désormais ses films dans une semi-clandestinité. Dans le plus grand secret, il vient de terminer Three Faces, l’histoire de trois portraits de femmes (une actrice, une présentatrice TV et une jeune comédienne ambitieuse) que l’on retrouvera en compétition à Cannes en mai prochain.
notre avis // compétition

2
ROMA
Alfonso Cuaron (mexique)

Ne vous y trompez pas, cinq ans après Gravity, Alfonso Cuaron n’a pas entamé une trilogie italienne à l’instar de Woody Allen ou Asghar Farhadi en quête de tourisme cinématographique. Bien au contraire, le réalisateur oscarisé revient aux sources, dans son Mexique de Y Tu Mama Tambien, quelques dix-sept plus tard. Cuaron a campé son film à Mexico dans les années 1970 dans une famille de classe moyenne. Tourné entre septembre 2016 et mars 2017, Cuaron s’est lancé dans un long processus de post-production : « je suis extrêmement satisfait des résultats du film donc je dois en prendre soin jusqu’à ce qu’il soit terminé » racontait-il en octobre dernier en marge du Festival Lumière à Lyon. Gageons que cela soit prêt pour le mois de mai.
notre avis // compétition

Ash is purest white
Ash is purest white

1
ASH IS PUREST WHITE
Jia Zhang-ke (chine)

Tout en haut de notre classement, Jia Zhang-ke, le réalisateur chinois de chefs-d’oeuvre absolus du début du XXe siècle (Still Life, A Touch of Sin). L’un de nos auteurs favoris finalise en effet Ash is purest white, film de gangsters dans la Chine moderne (2001-2016) sur trois moments de la vie d’une femme (incarnée par sa compagne et muse Zhao Tao), amoureuse d’une figure de la pègre entre la province de Shanxi et celle de Sichuan. Malgré les récents remous au gouvernement de la censure en Chine qui, faute de visa délivré pour le moment, empêche toute oeuvre chinoise de sortir des frontières (et donc toute sélection à Cannes), on l’exige en compétition.
notre avis // compétition

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