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100 films qu’on aurait dû voir à Cannes 2020 : Classement de 1 à 20

24 avril 2020
Thomas
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24 avril 2020
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Dernier volet de notre liste des 100 films qu’on aurait dû voir à Cannes 2020

 

The French Dispatch
The French Dispatch

20
THE FRENCH DISPATCH
Wes Anderson (états-unis)

Wes Anderson n’en finit plus d’empiler les stars. Son « Grand Angoulême Hôtel » ne déroge pas à la règle. Cocardien que nous sommes, ne citons que les frenchys et francophones de l’étape charentaise : Timothée Chalamet, Léa Seydoux, Cécile de France, Mathieu Amalric, Denis Ménochet, Lyna Khoudri, Guillaume Gallienne, Hippolyte Girardot, Vincent Macaigne, Félix Moati, Benjamin Lavernhe, Stéphane Bak, l’indispensable Alexandre Steiger (de chez Les Chiens de Navarre notamment). Tout cela sans citer Bill Murray, ni Elisabeth Moss, ni Tilda Swinton, ni Owen Wilson, ni Henry Winkler ni notre absolue chouchoute Saoirse Ronan. Quelle folie. Le Top 20 est bien lancé je crois.
potentiel // compétition

19
PARADIS SALE
Bertrand Mandico (france)

L’intrigue se déroule dans un futur chimérique sur After Blue, une planète d’une autre galaxie, planète vierge où seules les femmes peuvent survivre au milieu d’une flore et d’une faune inoffensives. N’en jetez plus pour la hype. Après Les Garçons sauvages le nouveau Mandico Paradis sale embarquera Elina Löwensohn, la débutante Paula Luna Breitenfelder, Vimala Pons, Agata Buzek, Pauline Lorillard, Camille Rutherford, Anaïs Thomas et Claire Duburcq.
potentiel // quinzaine des réalisateurs

18
GOODNIGHT, SOLDIER
Hiner Saleem (irak)

Passé dans l’escarcelle de The Party Film Sales à Berlin, la nouvelle entité de ventes d’Etienne Ollagnier (Jour2Fête), le nouveau film de Hiner Saleem (Vodka Lemon) abordait confiant la présélection cannoise, après Kilomètre Zéro (Compétition 2005) et My Sweet Pepper Land (Un Certain Regard 2013). Un jeune couple ayant réussi à surmonter la haine de leurs familles respectives, mais qui se retrouve confronté à une nouveau défi quand le mari devient impuissant après s’être fait tirer dessus.
potentiel // compétition

17
ALGÉRIEN PAR ACCIDENT
Karim Aïnouz (brésil)

Le cinéaste brésilien d’origine algérienne s’est rendu pour la première fois sur les terres de ses aïeux en février 2019 au moment-même où commençaient les manifestations de masse dans le pays. De cette expérience il en tirera un documentaire Nardjes A. 2019 présenté à la Berlinale en février dernier (juste après que son mélo La Vie invisible d’Euridice Gusmão ne triomphe en sélection Un Certain Regard à Cannes en mai 2019). Karim Aïnouz est ensuite retourné à Alger avec le projet d’y tourner Algérien par accident, un essai autobiographique en forme de road-movie à la recherche de ses racines et l’héritage de la lutte pour l’indépendance contre la domination coloniale française. « Alors que le Brésil se fondait littéralement en quelque chose d’horrible avec le gouvernement Bolsonaro, je suis arrivé dans ce pays, supposé être ma deuxième patrie, qui a quelque chose de vraiment beau, des jeunes dans les rues, marchant un vendredi, luttant pour la démocratie. C’était presque une sorte de scénario épouvantable et génial en même temps ».
potentiel // compétition

16
THE LAND OF HAPPINESS
Im Sang-soo (corée du Sud)

Après les incroyables Une femme coréenne ou The President’s Last Bang, le Coréen Im Sang-soo a connu par deux fois la compétition à Cannes avec The Housemaid (2010) et L’Ivresse de l’argent (2012). Alors que son dernier film en date Intimate Enemies, est resté inédit en France, l’un des symboles de l’âge doré du cinéma coréen revient comme un postulant sérieux à la compétition cannoise. Dans The Land of Happiness, deux hommes se rencontrent par hasard et décident de partir ensemble pour un trip à la recherche du bonheur. Pour incarner les rôles-titres deux stars incontestables : le monumental Choi Min-Sik, inoubliable dans Old Boy et Ivres de femmes et de peinture, et le jeune Park Hae-Il vu chez Bang Joon-ho (Memories of Murder, The Host).
potentiel // compétition

The Land of Happiness
The Land of Happiness
Été 85
Été 85
Mon légionnaire
Mon légionnaire
Three mothers
Three mothers

15
ÉTÉ 85
François Ozon (france)

Le rythme ne faiblit pas. Avec son film par an, François Ozon arrive peu ou proue à jouer toujours placé dans l’une des trois grandes places européennes. Dernier en date, Grâce à Dieu à Berlin en 2019 qui n’a vu que Synonymes (de Nadav Lapid) lui soufflait de peu l’Ours d’or. Car oui Ozon n’est pas très ami avec les récompenses festivalières. Pour sa huitième collaboration de rang avec Eric et Nicolas Altmayer (Mandarin), le cinéaste espère conjurer le sort. Été 85 ou la chronique estivale dans une station balnéaire normande, Ozon se demandera « à quoi rêve-t-on quand on a 16 ans dans les années 1980 » avec les prometteurs Benjamin Voisin, Félix Lefebvre et Philippine Velge, et pour les entourer Valeria Bruni-Tedeschi, Isabelle Nanty et l’inévitable complice Melvil Poupaud.
potentiel // compétition

14
MON LÉGIONNAIRE
Rachel Lang (france)

Remarquée avec son premier long métrage Baden Baden qui avait fait sa première mondiale un peu en catimini dans le gargantuesque Forum de la Berlinale en 2016 avant de passer dans plus de 60 festivals internationaux et d’être distribué dans une douzaine de territoires (dont l’Allemagne, le Royaume-Uni, les États-Unis et la Chine), Rachel Lang ambitionne cette fois une place au soleil de Cannes avec Mon Légionnaire. Comment les couples avec légionnaires font pour survivre, des hommes qui se battent pour la France, des femmes qui luttent pour garder leur amour bien vivant. Avec Louis Garrel dans l’habit du soldat.
potentiel // un certain regard

13
THREE MOTHERS
Naomi Kawase (japon)

Si son dernier film (avec Juliette Binoche) n’a pas eu les honneurs de Cannes, il est bien le seul tant le rond de serviette est tatoué sur l’avant-bras de Naomi Kawase. Pour son retour à un film japono-japonais, la réalisatrice de Shara adaptera la nouvelle de Mizuki Tsujimura. Un jeune couple qui, après une longue et pénible expérience du traitement de l’infertilité, choisit de passer par l’adoption. Six ans après avoir adopté un petit garçon, ils reçoivent un appel téléphonique menaçant d’une femme prétendant être la mère biologique de l’enfant et qui est prête à leur extorquer de l’argent à tout prix.
potentiel // compétition

12
MAINSTREAM
Gia Coppola (états-unis)

Pas touche à Gia ! Son deuxième film a subi une totale préemption de la part de l’Officielle. Carlo Chatrian a bien tout essayé pour attirer le film pour son premier Berlin mais rien n’y a fait. Thierry Frémaux avait mis le grappin dessus. Terminé rideau. On attendait le retour de la petite-fille du « Parrain » depuis 2013 et Palo Alto. Mainstream sera l’occasion de revoir sur les marches rouges Andrew Garfield.
potentiel // compétition

11
UNCLENCHING THE FISTS
Kira Kovalenko (russie)

Encore une révélation dont le nom revient avec la plus grande insistance. Présentée un peu abusivement comme une « protégée » de Kantemir Balagov nouvelle coqueluche du cinéma russe, tous les feux sont au vert pour découvrir à Cannes Kira Kovalenko et son Unclenching The Fists à l’Officielle. De là à accrocher une place en compétition avant même Balagov ? Allez savoir.
potentiel // un certain regard

Trois étages
Trois étages

10
TROIS ÉTAGES
Nanni Moretti (italie)

Pour son 13e film de fiction, Nanni Moretti s’est lancé un nouveau défi. Adapter une histoire qu’il n’a pas lui-même écrite. L’oeuvre choisie est le roman de l’Israélien Eshkol Nevo, avec un casting italien de choix, Riccardo Scamarcio, Margherita Buy (Mia Madre), Alba Rohrwacher et Nanni Moretti lui-même. L’histoire de trois familles qui habitent dans trois appartements d’un même immeuble bourgeois racontée en trois chapitres différents.
potentiel // compétition

9
I’M THINKING OF ENDING THINGS
Charlie Kaufman (états-unis)

Après Anomalisa, Charlie Kaufman a réalisé pour Netflix I’m Thinking of Ending Things, adapté du roman éponyme de Iain Reid. Dans ce film avec Toni Collette, la visite d’un couple dans la famille de l’amoureux tourne au cauchemar quand, par un détour surprise, il abandonne son amie dans la campagne la plus reculée. Le tampon « Netflix » le disqualifie de facto pour la compétition.
potentiel // hors compétition

Petrov's Flu
Petrov’s Flu

8
PETROV’S FLU
Kirill Serebrennikov (russie)

Depuis Leto (en compétition en 2018) et la création mondiale de Outside au dernier Festival d’Avignon, l’assignation à résidence que le cinéaste subissait du pouvoir en place a été levée. Dans Petrov’s Flu, Kirill Serebrennikov adapte un roman d’Alexeï Salnikov, une journée dans la vie d’un auteur de bandes dessinées et de sa famille, dans la Russie post-soviétique.
potentiel // compétition

7
LO QUE ALGUNOS SONARON
Michel Franco (mexique)

Le Mexique a cette fâcheuse tendance de provoquer les avis les plus tranchés. Décriés pour les uns, portés aux nues pour les autres, les Carlos Reygadas, Amat Escalante et autre Michel Franco, ont pris l’habitude de déchirer la Croisette. « Par chance », le réalisateur de Despuès de Lucia vient de terminer Lo Que Algunos Sonaron, un film de science-fiction dystopique sur le chaos social dans un Mexico du futur crevant de ses disparités, avec pour cadre un mariage dans une famille bourgeoise qui vire vinaigre. Mais vinaigre sauvage.
potentiel // compétition

6
MEKTOUB MY LOVE : CANTO DUE
Abdellatif Kechiche (france)

Puisqu’apparemment, nous resterons encore longtemps une petite poignée d’irréductibles à avoir pu découvrir Intermezzo (toujours invisible en salles, en VOD ou en VHS… hello Pathé ?), rappelons les faits. Le film que Kechiche présenta à Cannes l’an dernier n’est qu’un « intermède » à l’oeuvre-fleuve Mektoub my love. Nous voilà donc en droit d’attendre avec la plus grande impatience le Canto Due, (la vraie suite de l’incroyable Canto Uno).
potentiel // compétition

5
ANNETTE
Leos Carax (france)

Sept ans après Holy Motors, Carax est de retour avec un musical ! L’histoire d’un couple hollywoodien (Adam Driver et Marion Cotillard), lui comédien de stand-up, elle chanteuse d’opéra, et de leur fille Annette, enfant mystérieuse aux pouvoirs étranges. Finis les longs conciliabules avec Michelle Williams et même Rihanna, le film semble prêt à temps pour la bataille, avec les Sparks à la compo et le producteur Marius de Vries (La La Land, Moulin Rouge!) aux manettes.
potentiel // compétition

Benedetta
Benedetta

4
BENEDETTA
Paul Verhoeven (pays-bas)

Au 15ème siècle, alors que la peste se propage en Italie, la très jeune Benedetta Carlini rejoint le couvent de Pescia en Toscane. Il était écrit que le nouveau (et terriblement attendu) film de Paul Verhoeven aurait une résonance particulière avec la pandémie que nous vivons tous. Hors-jeu en 2019 pour cause d’infirmerie (hanche foireuse pour Verhoeven), Benedetta semble enfin proche de nous, adaptation du livre Immodest Acts: The Life of a Lesbian Nun in Renaissance Italy de Judith C. Brown, avec Virginie Efira dans le rôle-titre, avec aussi Daphné Patakia, Charlotte Rampling, Lambert Wilson, Clotilde Courau, Louise Chevillotte et Jonathan Couzinié ( « Jésus » nous a-t-on dit). Ce sera son deuxième film en français après Elle.
potentiel // compétition

3
LE GENOU D’AHED
Nadav Lapid (israël)

Avec un sans-fautes unanimement salué depuis Le Policier, Nadav Lapid est devenu une valeur sûre du cinéma d’auteur mondial depuis son Ours d’or obtenu en 2019 avec Synonymes. Il faut dire que Cannes avait raté de très peu ce rendez-vous en 2018 quand, le film quasiment bouclé, est interrompu, Lapid devant rentré précipitamment en Israël pour des raisons familiales. Le Genou d’Ahed entré en tournage en décembre dernier, est déjà en course pour la compétition, inspiré par un événement récent, celui d’un cinéaste seul dans le désert se jette éperdument dans deux combats voués à l’échec : l’un contre la mort de la liberté dans son pays, l’autre contre la mort de sa mère.
potentiel // compétition

Memoria
Memoria
apichatpongweerasethakul4

2
MEMORIA
Apichatpong Weerasethakul (thaïlande)

Le retour de l’enfant-prodigue. À l’orée de ses 50 ans, Apichatpong Weerasethakul s’est lancé le défi de tourner pour la première hors de Thaïlande. L’idée du scénario lui est venue pendant des vacances en Colombie, impressionné par la beauté naturelle du pays, juxtaposée avec son passé violent et tourmenté. Pendant les trois mois qu’il a passés dans le pays, il a plus particulièrement été frappé par un projet de construction vieux d’un siècle, celui d’un tunnel à travers les Andes, qui joue un rôle décisif dans l’intrigue de son film. « Il y a quelque chose qui m’attire ici. Je ne suis pas vraiment sûr de savoir quoi. C’est un tremblement de terre personnel, une folie tranquille. Je suis convaincu que dès que j’aurai commencé le tournage, je dormirai mieux » confiait le lauréat de la Palme d’or 2010. Dans Memoria, une cultivatrice d’orchidées écossaise (Tilda Swinton) rend visite à sa sœur malade à Bogotá. Sur place, elle se lie d’amitié avec une archéologue française (Jeanne Balibar) chargée de surveiller le projet de construction avec un jeune musicien (Elkin Diaz). Toutes les nuits, des coups frappés de plus en plus lourdement l’empêchent de dormir. Weerasethakul retrouve pour la première à la photo Sayombhu Mukdeeprom (Oncle Boonmee, celui qui se souvenait de ses vies antérieures).
potentiel // compétition

1
MANDIBULES
Quentin Dupieux (france)

Déjà le 8e film (et oui) de Mr Oizo et une 1ère place bien méritée tout en haut de notre liste des 100 films pour Cannes 2020. Plus les films avancent chez Dupieux (et la barbe pousse), et plus le côté un peu fantasque et provoc des débuts laisse place à un vrai grand metteur en scène. Sans doute l’un des 5 réalisateurs en exercice les plus novateurs en terme de narration. Pour Mandibules, Dupieux s’occupe du scénario, de la photo, du montage, de la musique du film et il fait les cafés aussi. Jean-Gab et Manu, un peu simples d’esprit, trouvent une mouche géante vivante coincée dans le coffre d’une voiture et décident de la dresser pour gagner de l’argent. Du pur Dupieux avec les copains Grégoire Ludig, David Marsais et Roméo Elvis (featuring d’un nouveau titre surprise de Mr Oizo himself dévoilé début avril), et aussi Adèle Exarchopoulos, India Hair, Coralie Russier (120 battements par minute) et Bruno Lochet. On rêve d’une salle Lumière enivrée et hilare. Sans distanciation aucune.
potentiel // compétition

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