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adele exarchopoulos

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Haut les coeurs à Cannes

14 mai 2015
Thomas
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Chronique à Cannes #1 // Les premiers soubresauts ont résonné et les trois coups sont lancés. Des polémiques, déjà, des rumeurs, surtout, et son lot d’enthousiasmes exacerbés ont déjà parcouru la Croisette. Cannes 2015 est sur ses rails à l’assaut de la cinéphilie mondiale.

Jeudi 14 mai. Tous les festivaliers y vont de leur application météo préférée. La presse est unanime : grand ciel bleu annoncé pour la quinzaine. Ce n’est peut-être pas grand-chose pour vous mais pour nous ça veut dire beaucoup. On a beau bronzé à la lueur des projecteurs numériques, faut pas pousser mémé dans les orties humides. Faire descendre 30 000 professionnels du cinéma dans une cité sudiste et droitière pour retrouver les giboulées normands. Merci bien.

Du côté du jury, les monos Coen ont bien pris en main leur colo. Guillermo Del Toro claque la bise à tout festivalier qui lui demande quoi ou qu’est-ce – ça ne va pas durer bien longtemps Guillermo, le service du protocole va vite te faire comprendre ce que sécurité cannoise veut dire quand on est « juré » de la Compétition. Les frères Coen ont déjà annoncé la couleur et vont « surprendre » leurs colistiers, « sur un plateau c’est en les désarmant qu’on obtient le meilleur de nos acteurs » ont-ils résumé. Xavier Dolan appréciera.

les-anarchistes

Ouvertures françaises. Ah oui, cinéma ? Oui. Revenons à ce qui nous amène là. Nous ne nous sommes pas infligés (pour notre plus grand plaisir) la construction pharaonique du planning 2015 maison pour ne pas causer un peu des films. Vus les deux films d’ouverture. La Tête Haute, chez l’officielle, signée Emmanuelle Bercot, et Les Anarchistes, le 2e long de Elie Wajeman, qui ouvre ce soir la Semaine de la Critique. 2 films, 2 ambiances : une chronique sociale bien sociale pour Emmanuelle Bercot qui retrouve Catherine Deneuve après le succès de Elle s’en va. La Tête haute c’est celle de Malony, délinquant chronique (le fou fou et amateur Rod Paradot, les no-name dont Cannes rafle). On n’est pas dingue du film même si les 2h se tiennent – mis à part la dernière scène – Deneuve en juge pour enfants mouais, Magimel en Pascal le grand frère, pourquoi pas, mais la grande rigolade du film c’est Sara Forestier, fausses-dents pour incarner une sans-dents, c’est la réussite comique du film. Pas sûr qu’il s’agissait de l’effet escompté. De l’autre Les Anarchistes de Wajeman. Le réalisateur de 34 ans avait réussi Alyah son premier long. Il réussit aussi le deuxième, complètement ailleurs, avec la restitution historique du mouvement anarchiste de la fin du XIXe à Paris. Tahar Rahim est – comme toujours – génial, Cédric Kahn trop rare est encore magique. Adèle Exarchopoulos fait du Adèle, toute bouche devant et sensuelle à souhait. Et une révélation se confirme, Swann Arlaud. Il éclate le film.

la-tete-haute

Baromètre. La première projection de Mad Max Fury Road ce matin a enthousiasmé, flabistouflé, émerveillé, bref c’est bien la tuerie annoncée (profitez-en, il est dans toutes les bonnes salles à partir d’aujourd’hui). On se demande encore comment, et d’une, le film n’ait pas fait l’ouverture officielle (merci la Warner ?), de deux comment Thierry Frémaux n’a pas trouvé une p’tite place en Compétition pour la nouvelle bombe de George Miller. La Compétition, elle, s’est ouverte avec le Matteo Garrone, Tale of Tales, un « Guillermo Del Toro spirit movie » à en croire certains qui cherchaient encore à 15h le manuel d’intention du réalisateur de Gomorra tant l’impression visuelle était aussi forte que la recherche du pourquoi du comment restait posée là. Le deuxième film à concourir pour la Palme d’Or, c’est le Kore-Eda, Notre petite soeur, et il semblerait que Kore-Eda ait fait du Kore-Eda. C’est beau, c’est bien écrit, c’est sensible bien comme il faut, mais c’est du Kore-Eda. Vous voyez le genre ?
Toute cette partie baromètre est bien sûr à prendre comme elle est, ça bruisse, on entend, on retransmet, mais on n’est responsable de rien…

Demain, on espère Yorgos Lanthimos, Natalie Portman, Santiago Mitre, Arnaud Desplechin et Woody Allen…

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‘La Vie d’Adèle’ ou comment Abdellatif Kechiche a foudroyé la Croisette

25 mai 2013
Thomas
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Prodigieux élan cinématographique, le film d’Abellatif Kechiche a transpercé au cœur une Croisette engourdie par la pluie. La Vie d’Adèle – Chapitre 1 & 2 ne souffre d’aucune comparaison dans une Compétition à la qualité pourtant rare cette année.
Sans conteste, notre Palme d’Or.

CANNES 2013
Compétition | 23 mai

2-LA-VIE-D'ADELE-PIC-CANNES

Adèle, une jeune lycéenne, rencontre Emma une intrigante étudiante des Beaux-Arts aux cheveux bleus.

Tourner la dernière page de Belle du Seigneur d’Albert Cohen, attendre la dernière minute d’une symphonie de Brahms, s’extasier devant une toile de Hopper, on peut désormais classer les 177 minutes passées avec La Vie d’Adèle – Chapitre 1 & 2 le nouveau film d’Abdellatif Kechiche dans cette catégorie rare.
Celle d’une oeuvre artistique qui vous percute l’âme, qui vous rend différent de ce que vous étiez avant. Le film que Cannes attendait. Le film que l’on attendait tout court.

Difficile de mettre des mots sur de telles sensations, difficile de rendre compte de la déflagration qui a traversé la Croisette jeudi dernier lors de la présentation officielle de cette Vie d’Adèle. On a beaucoup dit combien le Festival de Cannes 2013 s’inscrivait d’ores et déjà comme une année exceptionnellement gâtée, une qualité de films constantes en Compétition comme en sections parallèles. Il manquait un choc filmique pour entériner un bilan 2013 qui fera date.
Cannes 2013 tient son chef d’oeuvre; un chef d’oeuvre que Cannes a bien failli ne jamais voir tant le travail de post-production de Kechiche le perfectionniste s’est éternisé jusqu’au dernier moment (le film ayant même été présenté sans le moindre générique de début et de fin).

Les quelques 3 heures du film de Kechiche (La Faute à Voltaire, L’Esquive, La Vénus Noire) sont comme un éclair, un coup de foudre. Il passe aussi vite, que le réalisateur de La Graine et le Mulet prend son temps, des situations qui s’installent, auxquelles on assiste subjugué, virtuosité de la vraisemblance, une réalité augmentée par l’évidence une actrice monumentale. Celle dont vous entendrez parler absolument partout, c’est elle, Adèle Exarchopoulos. Bouleversante de bout en bout, on la suit de l’adolescence à ses premiers pas d’institutrice, avec l’amour féminin (même au singulier) pour fil conducteur.
Les superlatifs ne sont pas assez forts pour décrire cette performance unique. Elle grandit à l’écran sans aucun artifice. Elle se transforme sous nos yeux. Une telle sensation au cinéma remonte sans doute à Tahar Rahim dans Un Prophète de Jacques Audiard. Mais Adèle E. va encore bien plus loin.

On entend beaucoup parler de Pialat pour évoquer le travail de Kechiche mais son cinéma ne peut pas proprement être mis en référence à un autre, il s’impose à nous, même s’il y a quelque chose qui ressemble à la relation Bonnaire-Pialat dans cette fusion Exarchopoulos-Kechiche. L’intensité avec laquelle sa caméra suit l’éducation sentimentale d’Adèle, l’épreuve de la passion, l’appréhension de son corps, de ses sens et plus globalement de sa vie, trouve un écho d’autant plus grand avec la rencontre du personnage d’Emma (Léa Seydoux).

Adele et Lea

Si l’on fait tant référence aux arts et aux émotions que certaines œuvres peuvent nous procurer, c’est que Kechiche lui-même ne cesse d’y faire référence; Passée la scène introductrice autour de Marivaux et des Lettres que le réalisateur porte aux nues depuis le début de son oeuvre, et qui ouvre notre appétit autant que l’histoire passionnelle d’Adèle, le personnage d’Emma nous sert dans le film un éloge de Klimt dont les Portraits d’Adèle Bloch-Bauer font parmi de ses peintures les plus célèbres… Adèle, leur muse. Adèle la muse d’Emma, dans son travail artistique, Emma le pygmalion d’Adèle à l’apprentissage du sexe, crûment montré par Kechiche dans de longues scènes d’amour physique qui ne cachent rien, à répétition, rudes, magnifiées et applaudies en projection (!).

Au terme de ce film-fleuve, on aurait qu’une envie, que les chapitres se succèdent, de rester avec elle(s) et si, une autre chose de se préparer un plat de pâtes bolognaises. Et des huîtres en entrées. Vous comprendrez. Quelle chance vous avez de ne pas avoir (encore) vu cette Vie d’Adèle, vous ne pouvez pas savoir. Je rêve déjà de le revoir.

Une seule chose pourrait l’empêcher d’obtenir la Palme d’Or dimanche soir, que Steven Spielberg et son jury préfère honorer du Prix d’Interprétation Adèle Exarchopoulos – qui éclate littéralement aux yeux de tous – si les règlements stricts du Festival de Cannes (qui préfère n’honorer le lauréat du titre suprême que de ce seul prix – on ne peut en théorie pas coupler la Palme d’un autre prix pour un film) ne s’assouplissaient pas exceptionnellement. C’est Steven Spielberg d’un autre côté, peut-on lui refuser quoique ce soit ?


COMPÉTITION
LA VIE D’ADÈLE – CHAPITRE 1 & 2 de Abdellatif Kechiche
Sortie le 9 octobre
4

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Cannes 2013: 10 nouvelles têtes à suivre

14 mai 2013
Thomas
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Avant d’entrer de plein pied demain dans le 66è Festival de Cannes, les 10 noms qui pourraient bien être les révélations de cette édition 2013.

Quel plus bel écrin que celui de la Croisette pour assister à une naissance cinématographique quasiment ex nihilo ? On se souvient de découvertes récentes à Cannes.

On pense en 2009 à Tahar Rahim dans Un Prophète de Jacques Audiard, Christopher Waltz en officier SS multilingue la même année dans Inglourious Basterds de Quentin Tarantino, Xavier Dolan à la Quinzaine des Réalisateurs pour la projection de son premier film J’ai Tué ma Mère ou encore le jeune réalisateur grec Yorgos Lanthimos qui avait réveillé la Croisette avec son premier film Dogtooth (Canines). En 2008, salle Debussy dans la section Un Certain Regard c’était la révélation Kelly Reichardt avec la présentation de Wendy and Lucy avec Michelle Williams,… et j’en passe.
Autant d’exemples en tête de naissances au mois de mai dans un Festival du Sud de la France.

#1 MARINE VACTH

marine

Il va falloir vite apprendre à bien orthographier le nom de cette nouvelle fiancée potentielle du cinéma français. Déjà aperçue chez Cédric Klapisch (Ma part du gâteau) et chez Alexandre Arcady (Ce que le jour doit à la nuit) , Marine Vacth, 23 ans, a tout pour devenir l’une des révélations de ce Festival 2013. Star du nouveau film de François Ozon Jeune et Jolie – projeté le premier jour de la Compétition jeudi 16 mai – et après une fulgurante carrière de mannequin dès l’âge de 15 ans, elle interprète Isabelle une jeune adulescente de 17 ans qui se frotte de (très) près à l’univers de la sexualité tarifée.
Projection à Cannes le jeudi 16 mai (Compétition)

#2 CLIO BARNARD

clio

C’est sans doute le film qui attise le plus la curiosité des festivaliers du côté des sélections parallèles. Le Géant Egoïste est le 2è film de la britannique Clio Barnard (après le documentaire multi-primé The Arbor). La réalisatrice s’essaie pour la première fois à la fiction et a été l’objet d’une rude lutte en coulisses entre Edouard Waintrop le délégué général de la Quinzaine des Réalisateurs et Thierry Frémaux qui souhaitait présenter le film au Certain Regard. Mais Waintrop a été plus pugnace et confiait même à nos confrères de FilmdeCulte « ils ont eu des propositions venant de plus haut que la Quinzaine. Mais moi j’ai été très très pressant, je n’arrêtais pas d’appeler ». Et il a finalement remporté la timbale. Clio Barnard filme ici les quartiers pauvres, les ferrailleurs, les enfants dans un monde de récupération, doit-on pour autant s’attendre à un impact similaire aux Bêtes du Sud Sauvage de l’an dernier ?
Projection à Cannes le vendredi 17 mai (Quinzaine des Réalisateurs)

#3 KATRIN GEBBE
Sans elle, la présence de la cinématographie allemande sur la Croisette se serait réduite sans doute à une chaussure Birkenstock de taille 46 (pied gauche) perdue près du McDonald’s de la rue Félix Faure. Et encore, Tore Tanzt de Katrin Gebbe a fait partie de la caravane d’ajouts annoncés quelques jours après la Conférence de Presse, finalement intégré à la section Un Certain Regard. « Maîtrisé », « très fort » les qualificatifs sont plutôt laudateurs a priori pour le premier film de la jeune réalisatrice germanique sur une relation très violente entre deux jeunes gens sur fond d’ésotérisme sectaire et de sévices à l’épreuve de la Foi.
Projection à Cannes le jeudi 23 mai (Un Certain Regard)

#4 JEREMY SAULNIER

blue ruin

Le film de genre est de retour à Cannes, on le sait depuis quelques années grâce au travail de Thierry Frémaux pour la Sélection Officielle et des Délégués Généraux des sélections parallèles (Olivier Père et maintenant Edouard Waintrop à la Quinzaine / Jean-Christophe Berjon et maintenant Charles Tesson à la Semaine de la Critique) et c’est tant mieux. « Vagabond », « Solitaire », « Vengeance », « Maison d’enfance », Jeremy Saulnier promet avec Blue Ruin l’archétype du polar made in US. Ce jeune américain aperçu sur de nombreux plateaux de cinéma en tant que chef opérateur (notamment ceux de Matthew Porterfield), signe ici son deuxième film.
Projection à Cannes le samedi 18 mai (Quinzaine des Réalisateurs)

#5 ADÈLE EXARCHOPOULOS

2-LA-VIE-D'ADELE-PIC-CANNES

Inutile de rappeler ici ce qu’Abdellatif Kechiche apporte au destin des jeunes actrices qui rencontrent son chemin. Sara Forestier (L’Esquive) et Hafsia Herzi (La Graine et le Mulet) et dans une moindre mesure Yahima Torres (Venus Noire) sont là pour en témoigner. Kechiche sait déceler ce que l’on peut appeler des performeuses. Malgré le lead tenu par Léa Seydoux dans La Vie d’Adèle – Chapitre 1 & 2, sa pépite 2013 pourrait bien s’appeler Adèle Exarchopoulos (avec Léa Seydoux sur la photo) déjà vue dans La Rafle ou Tête de Turc.
Projection à Cannes le jeudi 23 mai (Compétition)

#6 YANN GONZALEZ

Les Rencontres d'après minuit 1

Avoir réuni dans un même projet Eric Cantona, Béatrice Dalle, Alain-Fabien Delon, Niels Schneider (découvert chez Xavier Dolan dans Les Amours Imaginaires), Kate Moran et Fabienne Babe, est en soi une curiosité qui titille nos sens. Remarqué pour ses courts métrages, et un univers très singulier, Yann Gonzalez et ses Rencontres d’Après-Minuit est d’ores et déjà l’un films les plus attendus du Festival 2013.
Projection à Cannes le lundi 20 mai (Semaine de la Critique)

#7 DENIS MÉNOCHET

menochet

Double présence à Cannes cette année pour cette gueule du cinéma français. Denis Ménochet pourrait bien profiter du 66è Festival de Cannes pour lancer définitivement une carrière grand public à la hauteur de son talent. Ménochet est doublement sélectionné cette année sur la Croisette: chez Rebecca Zlotowski dans Grand Central en sélection Un Certain Regard et dans le premier film de David Perrault Nos Héros sont Morts ce Soir (photo) en Compétition à la Semaine de la Critique.
Projection à Cannes les samedi 18 mai (Un Certain Regard) et mardi 21 mai (Semaine de la Critique)

#8 AMIT KUMAR
On aurait pu craindre que le Festival de Cannes nous sorte de son chapeau – sous couvert de la célébration du cinéma indien et du centenaire de sa naissance – une projection alibi, un peu similaire à la sélection en Compétition l’an dernier du film de l’égyptien Yousry Nasrallah Après la Bataille à grand renfort d’écho au printemps arabe. On en sera sans doute loin avec cette séance de minuit Monsoon Shootout, premier film d’Amit Kumar, présenté lors de la Conférence de Presse le 18 avril dernier par Thierry Frémaux comme un « film policier, pluvieux, indien, nocturne, et urbain”  de haute voltige. On se souvient d’avoir par exemple découvert dans les mêmes circonstances The Chaser de Na Hong-jin. On s’en contenterait aisément.
Projection à Cannes le samedi 18 mai (Séance de Minuit)

#9 OSCAR ISAAC

isaac

Il est le personnage principal du nouveau film des frères Coen Inside Llewyn Davis aux côtés de Carey Mulligan, John Goodman ou encore Justin Timberlake. Oscar Isaac n’est pas un inconnu de la Croisette puisqu’il a déjà eu l’occasion de fouler le tapis rouge pour Agora (2009), Robin Hood (l’ouverture 2010 de Ridley Scott) et Drive (2011). Llewyn Davis c’est lui, un musicien désœuvré dans le milieu folk du New York du début des années 1960 pour un Coen cru 2013 ambiance  froide et bleutée.
Projection à Cannes dimanche 19 mai (Compétition)

#10 NICOLAS WINDING REFN

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C’est assez gonflé de citer ici Nicolas Winding Refn comme une potentielle révélation 2013 mais si certains attendent d’Only God Forgives un Drive 2, le retour de la Vengeance, c’est mal connaître le réalisateur danois. Nicolas Winding Refn pourrait bien être une véritable surprise de ce Festival 2013 auprès du plus grand nombre.
Annoncé ultra-violent (ce que l’on peut confirmer d’après les quelques scènes dévoilées à Cannes l’an dernier), tellement que Thierry Frémaux lui-même aurait souhaité le « protéger » en le projetant plutôt en Séance de Minuit – certains ont même vu traîner Gaspar Noé sur le tournage… – NWR semble se diriger, pour sa deuxième collaboration avec Ryan
Gosling, vers un retour à ses propres sources dans la veine de ses premiers films (Bleeder ou la trilogie Pusher).
Projection à Cannes le mercredi 22 mai (Compétition)

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