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100 films pour Cannes 2018 : classement de 21 à 40

2 avril 2018
Thomas
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4e volet de notre liste des 100 films candidats pour Cannes 2018

 

Les Filles du soleil
Les Filles du soleil

40
LES FILLES DU SOLEIL
Eva Husson (france)

On se souvient avoir mis beaucoup d’espoir dans ces colonnes pour Bang Gang, le premier film de la cinéaste Eva Husson. Sans doute trop. Pour son deuxième long avec Golshifteh Farahani et Emmanuelle Bercot, Wild Bunch serait déçu de ne pas accrocher une place à Cannes ou Venise. Les échos plutôt très positifs en coulisses de cette histoire en plein Kurdistan entre un bataillon de femmes soldats et d’une grand-reporter de guerre française, laissent présager une virée sur la Croisette. Hasard ou coïncidence, une autre production française rentre en tournage sur des thématiques similaires : Red Snake avec Camélia Jordana, Amira Casar, Jasmine Trinca (et une nouvelle fois Golshifteh Farahani) par la novice Caroline Fourest.
notre avis // un certain regard

39
MONOS
Alejandros Landes (uruguay)

Déjà sept ans que son premier, et dernier film en date, Porfirio a connu les honneurs de la sélection à la Quinzaine des Réalisateurs. Fortement soutenu par Le Pacte et Jean Labadie, le deuxième film d’Alejandros Landes fait figure de poids lourd de la colonie sud-américaine pour Cannes cette année. Monos se situe dans la forêt colombienne avec des enfants-soldats dotés d’une étrange mission de protection d’une américaine kidnappée.
notre avis // un certain regard

Dilili à Paris
Dilili à Paris

38
DILILI À PARIS
Michel Ocelot (france)

Un projet de plusieurs années arrive enfin à son terme. La livraison du septième film de Michel Ocelot (Kirikou, Azur et Azmar, Princes et Princesses) est prévue pour cette année. Wild Bunch a calé la sortie sur les écrans en octobre prochain. On ne serait pas surpris que l’équipe de Vincent Maraval fasse le forcing pour lancer sur orbite à Cannes Dilili à Paris, une grande aventure policière dans le Paris de la Belle-Epoque.
notre avis // hors compétition

37
UNTITLED BRILLANTE MENDOZA PROJECT
Brillante Mendoza (philippines)

En mai dernier, Brillante Mendoza parrainait La Fabrique Cinéma de l’Institut Français. Il nous confiait par ailleurs partir en tournage à l’été 2017 pour raconter « l’histoire d’une mère de la communauté musulmane du Sud des Philippines dont le fils est atteint d’un cancer ». Un film hors de tout radar des pronostics cannois lus ici ou là mais dont on mettrait bien une pièce en sélection officielle.
notre avis // un certain regard

Au poste
Au poste

36
AU POSTE
Quentin Dupieux (france)

Avant d’enrôler Jean Dujardin dans son prochain long métrage Le Daim soutenu par ARTE et grosse attente 2019, Quentin Dupieux vient de mettre en boîte Au Poste, son premier projet franco-français depuis Steak, une comédie noire comme il sait bien les faire avec un casting qui donne des envies de voir à Cannes : Benoit Poelvoorde, Grégoire Ludig, Anaïs Demoustier et Orelsan.
notre avis // quinzaine des réalisateurs

35
COLD WAR
Pawel Pawlikowski (pologne)

Le réalisateur de Ida, et son impressionnante moisson de prix internationaux glanés en Festivals jusqu’à l’Oscar 2015 du meilleur film en langue étrangère, est de retour. Le cinéaste polonais Pawel Pawlikowski a choisi de replonger en noir et blanc dans la Pologne communiste des années 1950 et 1960 et sera centré sur l’histoire d’une relation amoureuse compliquée entre une femme et deux hommes avec en toile de fond l’activité d’un groupe de musique et de danse populaire. Avec notamment Jeanne Balibar et Cédric Kahn.
notre avis // compétition

34
JOUEURS
Marie Monge (france) 1er film

Après un court métrage nommé aux César (Marseille la nuit en 2014). Marie Monge réalise son premier film (coécrit avec Julien Guetta avec la collaboration de Romain Compingt), une histoire d’amour dans l’univers des cercles de jeux parisiens. La photo est signée Paul Guilhaume (Ava) avec en têtes d’affiches Tahar Rahim, Stacy Martin, Bruno Wolkowitch, Karim Leklou et Marie Denarnaud.
notre avis // quinzaine des réalisateurs

Cold War
Cold War
Joueurs
Joueurs
The man from the sea
The man from the sea
Domino
Domino

33
THE MAN FROM THE SEA
Kôji Fukada (japon)

On l’avait découvert dans le très rohmérien Au revoir l’été en 2013, puis il avait surpris son monde en dévoilant en 2015 Harmonium à Cannes (Un Certain Regard) un poignant mélodrame familial. Mais Kôji Fukada aime les zones d’ombres et les étrangetés. Il promet, dans The Man from the sea, de construire une fable autour du phénomène Tsunami en Indonésie : un homme est retrouvé sur la côte complètement amnésique mais doté de mystérieux pouvoirs.
notre avis // un certain regard

32
DOMINO
Brian De Palma (états-unis)

Il était prêt et quasi-booké pour Berlin en février dernier. Mais d’après nos informations, Domino le dernier film du maître Brian De Palma a fait l’objet d’une âpre lutte en hautes sphères pour que la Sélection Officielle le récupère. On ne serait pas étonné de retrouver sur le red carpet le nouveau polar du réalisateur de L’Impasse avec Nikolaj Coster-Waldau (la star de Game of Thrones), Guy Pearce et Carice van Houten. Dans les grands chamboulements annoncés par Thierry Frémaux pour cette édition 2018, le délégué général a évoqué le retour d’un film de clôture. Un De Palma ? Pourquoi pas.
notre avis // hors compétition – clôture

Angelo
Angelo
markusschleinzer2

31
ANGELO
Markus Schleinzer (autriche)

Point de Michael Haneke à l’horizon, il faut bien trouver notre quota autrichien pour parfaire notre tour d’horizon 2018. Markus Schleinzer, ancien assistant-réal de Haneke, fait partie du club fermé des cinéastes ayant pu accéder à la compétition avec leur premier film. C’était Michael en 2011, une histoire glaciale de séquestration pédophile qui n’avait pas enthousiasmé la Croisette pour rester poli. Avec Angelo, il tourne un film d’époque avec Alba Rohrwacher, l’histoire d’un enfant vendu et enlevé de son Nigeria natal pour partir en Europe au 18e siècle. Il y sera « européanisé » de force et deviendra valet auprès du prince à Vienne.
notre avis // compétition

30
LETO
Kirill Serebrennikov (russie)

Assigné à résidence dans son pays depuis 2017 pour une sombre histoire de gros sous, le cinéaste et metteur en scène Kirill Serebrennikov fait l’objet de nombreuses pétitions et de soutiens artistiques de premier ordre dans toute l’Europe. Homme de théâtre de génie, Serebrennikov s’est révélé à Cannes avec Le Disciple (Un Certain Regard) brillante évocation de l’intégrisme religieux rampant dans les sociétés contemporaines. Leto son dernier bébé tourné en 2017 est basé sur l’histoire d’une rock-star soviétique au début des années 1980 et la naissance du rock russe sous l’influence de Led Zeppelin, de David Bowie et d’autres vedettes occidentales.
notre avis // compétition

Un amour impossible
Un amour impossible

29
UN AMOUR IMPOSSIBLE
Catherine Corsini (france)

Voilà un film qui pourrait créer la surprise dans la délégation française en compétition. La réalisatrice chevronnée Catherine Corsini a choisi d’adapter le récit éponyme de Christine Angot Un amour impossible, une histoire d’amour racontée sur trois décennies avec Virginie Efira et Niels Schneider.
notre avis // compétition

28
SHOPLIFTERS
Hirokazu Kore-eda (japon)

Quelques mois à peine après la présentation à Venise de The Third Murder et après de très nombreuses sélections cannoises, le réalisateur japonais est déjà prêt pour une aventure de festival avec Shoplifters, l’histoire d’une famille de voleurs à l’étalage qui prend sous son aile une jeune orpheline. Même si Kore-Eda semble réduire de film en film une certaine « ambition de cinéma », Shoplifters ne dénoterait pas en sélection officielle.
notre avis // un certain regard

The Man who killed Don Quixote
The Man who killed Don Quixote
Shoplifters
Shoplifters
Peterloo
Peterloo

27
PETERLOO
Mike Leigh (grande-bretagne)

Quand on commence un top, on se rassure d’abord avec certaines valeurs sures. Peterloo le nouveau film du vétéran Mike Leigh est de celles-là, l’un des premiers films cochés aux prémices de notre liste. Il faut dire que Mike Leigh est un sérieux poids lourds de la compétition, palme d’or en 1996 avec Secrets et Mensonges puis de nombreuses fois primés au palmarès. Après le décevant Mr. Turner, Leigh continue d’expier les affres de l’histoire britannique en racontant le massacre de « Peterloo ».
notre avis // compétition

26
THE MAN WHO KILLED DON QUIXOTE
Terry Gilliam (grande-bretagne)

Le projet est une légende. D’abord maudit, puis bien malgré lui sujet d’un documentaire passionnant sur les coulisses d’un tournage impossible, Terry Gilliam a enfin réussi son entreprise : raconter son Don Quichotte. Exit Jean Rochefort et Johnny Depp, c’est Jonathan Pryce et Adam Driver qui incarnent le duo mythique de Cervantes transposée au XXIe siècle, avec aussi Olga Kurylenko et Stellan Skarsgard. Le film est daté à mai 2018. Si le film plaît, il sera hors compétition, s’il plaît beaucoup, il sera en compétition, tout cela si l’imbroglio judiciaire avec le producteur Paolo Branco se dénoue rapidement, mais on voit mal comment il pourrait échapper à une séance de gala.
notre avis // compétition

25
THE SOUVENIR : PART I
Joanna Hogg (grande-bretagne)

On va l’avouer, on l’avait un peu sorti du top ces dernières semaines. Mais sur le fil, avec la remise annoncée du Carrosse d’or à Martin Scorsese en ouverture de la Quinzaine des Réalisateurs, on se dit que le grand Martin ne viendra pas que pour ça et qu’il pourrait bien venir aussi supporter The Souvenir (première partie), un film de Joanna Hogg qu’il produit himself. Un thriller romantique en deux parties situé dans les années 1980 avec Robert Pattinson, Ariane Labed et Richard Ayoade. La première partie est prête.
notre avis // compétition

La Quietud
La Quietud

24
LA QUIETUD
Pablo Trapero (argentine)

Quand on a croisé Bérénice Bejo fin 2017, elle nous a parlé de son tournage en Argentine, « un tournage éprouvant de huit semaines avec un réalisateur peu commun ». L’actrice franco-argentine de The Artist a en effet accepté l’invitation de Pablo Trapero (Leonera) de venir incarner la soeur de Martina Gusman (madame Trapero à la ville) dans une mystérieuse histoire de famille, avec aussi Edgar Ramirez.
notre avis // compétition

23
VISIONS
Naomi Kawase (japon)

Que serait un Festival de Cannes sans Juliette Binoche ? Dans son planning 2017, elle a tourné avec la japonaise Naomi Kawase, un film sur les femmes qui donnent naissance à des enfants non voulus pour celles qui ne peuvent pas en avoir. « Un film de société qui explorera les racines de l’existence humaine » raconte Kawase.
notre avis // compétition

Long Day's Journey into Night
Long Day’s Journey into Night

22
LONG DAY’S JOURNEY INTO NIGHT
Bi Gan (chine)

Si comme nous, vous avez été impressionnés par Kaili Blues son premier film éblouissant, vous devez, comme nous, prier Thierry Frémaux d’enrôler Long day’s journey into night (d’après nos informations le délégué général venait de recevoir une version définitive du film dans les premiers jours d’avril) le nouveau film de Bi Gan avec la star chinois Tang Wei (Lust Caution).
notre avis // compétition

21
WHERE LIFE IS BORN
Carlos Reygadas  (mexique)

Serial-polémiqueur à succès sur la Croisette, le cinéma de Carlos Reygadas est de ceux qui font le plus causé dans les vieux bars de la rue d’Antibes les jours de projection. On ne va pas cacher qu’on aime ça, bien peu pour nous les robinets d’eau tiède. Avec Reygadas on est servi (réal époustouflant de Japon à La Bataille dans le ciel). Son nouveau film, longtemps espéré à Cannes 2017, semble prêt cette fois. Une histoire d’amour dans l’univers des ranchs de toros avec le chef op de Cemetery of Splendour à la manette. Les premiers échos font état d’un nouveau choc formel reygadassien.
notre avis // compétition

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100 films pour Cannes 2017 : Prologue

19 mars 2017
Thomas
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Le 13 avril prochain aura lieu la conférence de presse du 70e Festival de Cannes. D’ici-là, place à notre liste des 100 films candidats à une sélection.

 

Comme à l’accoutumée, nous allons feuilletonner l’excitante période de l’avent « Noël des cinéphiles ». Nous nous savons épiés et lus attentivement. Tant mieux. Nous gageons d’être encore plus méticuleux dans nos recherches et recoupements.

Avant de publier les 20 premiers films ce mardi, un petit préambule en nommant d’ores et déjà quelques absents de marque de NOTRE liste. On croit lire ici ou là sur les nombreuses listes de cannois potentiels – c’est devenu un sport national, on le comprend on adore ça – tel ou tel film parfois même pas en début de tournage.

Car ce Festival 2017 n’est pas un Festival comme les autres. Le 70e du nom et son lot annoncé de célébrations et d’espérances en glamour et excellence ès cinéma.

Thierry Frémaux et son équipe auraient rêvé plateau de rêve en cette année en « 0 », mais quelques grands auteurs dont les noms avaient été cochés il y a déjà bien longtemps sur la case 2017 ne sembleraient pas prêts à temps : Mektoub is Mektoub d’Abdellatif Kechiche parti encore dans un processus de montage au long cours, The Killing of a Sacred Deer de Yorgos Lanthimos pour qui le temps restant en post-production ne joue pas en faveur d’une première cannoise, et deux films très attendus dont du tournage additionnel semble d’ores et déjà programmé au printemps : Where life is born de Carlos Reygadas et Loveless du russe Andrei Zviaguintsev.

Longtemps espéré, la Warner n’amènera finalement pas Dunkerque le nouveau Christopher Nolan en ouverture

Et d’autres grands noms sont encore au travail, privilégiant un circuit des Festivals d’automne (scénario d’un succès à la La La Land en 2016-2017 par exemple) ou simplement préfèrerant attendre l’édition 2018 ? On pense à The Death and Life of John F. Donovan de Xavier Dolan, High Life de Claire Denis, Peterloo de Mike Leigh, The Trap de Harmony Korine, Micro Robert de Nadav Lapid, The Man who killed Don Quixote de Terry Gilliam, Kursk de Thomas Vinterberg, Burning de Lee Chang-Dong, Sunset de Laszlo Nemes, Luxembourg de Myroslav Slaboshpytskiy, The House that Jack Built de Lars von Trier, Tarda Primavera de Michelangelo Frammartino, Lyon 1943 de Paul Verhoeven, Transit de Christian Petzold, Dilili à Paris de Michel Ocelot, Tout s’est bien passé d’Alain Cavalier, Gomera de Corneliu Porumboiu, Hautes terres de Miguel Gomes, Maya de Mia Hansen-Løve, Le Poirier sauvage de Nuri Bilge Ceylan, un prochain film sans nom de Jia Zhang-ke et bien sûr le premier film hors Asie d’Apichatpong Weerasethakul actuellement en tournage en Colombie.

 

Mais ça c’est pour demain.

Prochaine lecture, le début des 100 films pour Cannes 2017.

à mardi,

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