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nadine labaki

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100 films pour Cannes 2018 : classement de 81 à 100

27 mars 2018
Thomas
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1er volet de notre liste des 100 films candidats pour Cannes 2018

 

The Tower
The Tower

100
THE TOWER
Mats Grorud (norvège) 1er film

Après le formidable succès de Ma vie de courgette, on miserait bien un billet sur The Tower, un projet que le norvégien Mats Grorud mûrit depuis plus de 10 ans : un sujet éminemment politique, l’histoire de quatre générations de réfugiés palestiniens dans un camp au Liban à travers les yeux d’une fillette avec les soixante-dix ans de conflit israélo-palestinien en toile de fond. Mêlant la technique du stop motion (marionnettes animées) et celle de l’animation traditionnelle 2D, Mats Grorud ambitionne de démonter « l’absurdité des camps, l’espoir, les rêves et les luttes des habitants », le film a tout du mix rêvé entre Joann Sfar et Ari Folman.
notre avis // quinzaine des réalisateurs

99
LES CHATOUILLES
Andréa Bescond, Eric Métayer (france)

On connaît la Quinzaine friande de comédies françaises mainstream. Au moins une ou deux se retrouvent souvent dans la sélection de la Malmaison. Pour la première Quinzaine post #MeToo, on verrait bien le comité jeter son dévolu sur le film d’Andréa Bescond, l’adaptation de son succès au théâtre multi-récompensé et jouée encore aujourd’hui à guichets fermés. Les Chatouilles c’est l’histoire intime de la réalisatrice-auteur-interprète victime, enfant, d’un prédateur sexuel. La tonalité du film devrait aller chercher plutôt du côté de la résiliance et du bonheur retrouvé. Sur les planches, elle jouait tous les rôles. Sur grand écran, elle sera accompagnée de Karin Viard, Clovis Cornillac, Pierre Deladonchamps, Grégory Montel, Carole Franck et Gringe.
notre avis // quinzaine des réalisateurs

98
A RAINY DAY IN NEW YORK
Woody Allen (états-unis)

Comment dire que ce serait un événement médiatique et sulfureux ? Avec une présidente aussi emblématique du mouvement #MeToo que Cate Blanchett, la présence du nouveau film de Woody Allen (avec au cast Timothée Chalamet, Elle Fanning, Selena Gomez et Jude Law) en sélection officielle – l’actrice de Blue Jasmine vient de se déclarer favorable à l’ouverture d’une information judiciaire contre le réalisateur – donnerait du grain à moudre à une presse déjà bien remontée contre Thierry Frémaux. D’un autre côté, celui du cinéma, le délégué général a toujours affiché une fidélité sans faille au réal de NY. Contre vents et marées ?
notre avis // hors compétition

Mandy
Mandy

97
MANDY
Panos Cosmatos (états-unis)

Le film est gardé au chaud depuis sa présentation à Sundance en janvier. L’incontestable sensation gore du dernier Festival de Robert Redford ferait, à n’en pas douter, une excellente et enthousiaste séance de minuit au Grand Théâtre Lumière. Considéré par les premiers spectateurs comme le retour en grâce de Nicolas Cage, Mandy se place déjà comme l’un des meilleurs films d’action horrifique pop et violente de l’année, assez sanglants pour satisfaire les uns et assez expérimental pour ravir les autres.
notre avis // séance de minuit

96
FANNY LYE DELIVER’D
Thomas Clay (grande-bretagne)

Auteur de l’un des plus mémorables chocs cannois de ces 15 dernières années avec The Great Ecstasy of Robert Carmichael (Semaine de la Critique 2005), et coupable aussi de l’une de ses plus jolies purges Soi Cowboy (Un Certain Regard 2008), le britannique Thomas Clay fera-t-il de nouveau le voyage sur la Croisette avec Fanny Lye Deliver’d, un film d’époque en noir et blanc dans l’Angleterre du XVIIe où tout ne tournera pas si rond, on peut en être sûr.
notre avis // un certain regard

95
LE DERNIER VIDE-GRENIER DE CLAIRE DARLING
Julie Bertuccelli (france)

Elle avait fait la clôture du Festival de Cannes avec L’Arbre en 2010. La documentariste Julie Bertuccelli fait son retour à la fiction avec une adaptation d’un best-seller américain co-écrite avec Sophie Fillières. Devant la caméra l’icône Catherine Deneuve et aussi Chiara Mastroianni, Alice Taglioni, Johan Leysen, Olivier Rabourdin, Samir Guesmi et Laure Calamy. Le pitch : Claire Darling se réveille dans la nuit, c’est le premier jour de l’été, persuadée que c’est son dernier jour à vivre. Elle veut partir legère. Sur une journée, on va découvrir sa vie à travers ses objets.
notre avis // un certain regard – ouverture

Le dernier vide-grenier de Claire Darling
Le dernier vide-grenier de Claire Darling
Fanny Lye Deliver'd
Fanny Lye Deliver’d
The Wind Blew On
The Wind Blew On

94
THE WIND BLEW ON
Katrín Ólafsdóttir (islande)

Partie prenante de la mouvance artistique (et chaos) de Bertrand Mandico (Les Garçons sauvages), artiste contemporaine aux multiples talents, Katrín Ólafsdóttir écrit, met en scène, produit, réalise, et joue en même temps. Ses premiers films courts et longs ont déjà remporté de nombreux prix dans les festivals. Une sélection cannoise mettrait enfin un peu plus de lumière sur le travail de l’islandaise à la notoriété encore (trop) confidentielle.
notre avis // quinzaine des réalisateurs

93
MEMORIAS DEL CALABOZO
Alvaro Brechner (uruguay)

Nouveau film tiré du best-seller éponyme par le réalisateur de l’estimé Sale temps pour les pêcheurs (Semaine de la Critique 2009). C’est le récit de la survie de prisonniers politiques dans les geôles uruguayennes pendant la dictature, avec comme compagnon de cellule l’ex-président du pays Pepe Mujica. Avec un casting espagnisant trois étoiles : l’uruguayen Alfonso Tort, l’argentin Ricardo Darin Jr. et l’espagnol Antonio De La Torre..
notre avis // un certain regard

92
OUTSIDE
Michal Hogenauer (république tchèque)

Voilà un film aperçu en projet dans la ruche du festival des Arcs. Son premier long avait connu les honneurs de la Cinéfondation cannoise en 2012. Le 2e opus de l’autrichien Michal Hogenauer Outside a des faux airs de Canines (Yorgos Lanthimos) : autour d’une jeune fille au pair aux prises avec une famille extrêmement mystérieuse. Avec au casting Eliska Krenková aperçue dans la série Borgia.
notre avis // un certain regard

Curiosa
Curiosa
Outside
Outside
Nos batailles
Nos batailles
Tempo vertical
Tempo vertical

91
CURIOSA
Lou Jeunet (france) 1er film

Memento mise beaucoup sur le premier long de Lou Jeunet coécrit avec Raphaëlle Desplechin (Tournée). Assistée du chef opérateur de 9 doigts ou La Fille du 14 juillet, Lou Jeunet réunit dans ce film d’époque ambitieux un casting séduisant Niels Schneider, Noémie Merlant, Camelia Jordana, Amira Casar, Mathilde Warnier et Benjamin Lavernhe (le pensionnaire de la Comédie-Française, délicieux marié vu dans Le Sens de la Fête de Toledano-Nakache). Sur la passion amoureuse sur fond de liberté sexuelle entre les deux écrivains romantiques, Pierre Loüys et Marie de Régnier.
notre avis // un certain regard

90
NOS BATAILLES
Guillaume Senez (france)

Après son excellent premier film Keeper passé par le festival de Locarno, Guillaume Senez récidive avec un deuxième long très attendu. Le comité de sélection de la Semaine de la Critique ne s’y est pas trompé et a jeté son dévolu sur cette plongée dans la middle class française, l’histoire d’un contremaître brutalement délaissé par son épouse et livré à lui-même entre son travail et ses deux enfants. Le casting promet une jolie empoignade pour rentrer Espace Miramar avec Romain Duris, Laetitia Dosch, Laure Calamy et Dominique Valadié.
notre avis // semaine de la critique – ouverture

89
TEMPO VERTICAL
Lois Patiño (espagne)

Nous voilà avec le style de film que l’on aime bien mettre en avant dans notre Top 100 chaque année. Alors évidemment point de Jessica Chastain ni de Juliette Binoche à l’horizon mais un documentaire qui nous rappelle un peu le pitch de l’ébouriffant Le Quattro Volte. Dans un hameau, le temps semble s’être arrêté, tout le monde est paralysé tandis que la nature et les animaux évoluent librement. Et pourtant, on entend des gens qui parlent et se meuvent, comme d’une autre dimension inconnue : la sensation est celle d’un entre-deux plein de spectres. Lois Patiño a déjà commis Costa da Morte, un docu remarqué en festivals à Locarno ou à La Roche-sur-Yon et c’est le producteur de Mimosas (Oliver Laxe) qui s’est occupé de Tempo Vertical.
notre avis // quinzaine des réalisateurs

88
GUEULE D’ANGE
Vanessa Filho (france) 1er film

Marion Cotillard dans un de ses seuls films prêts pour Cannes cette année, Guillaume Schiffman à la photo : le mastodonte Mars Films a amené dans les meilleures conditions possibles le premier passage à la réalisation de la française Vanessa Filho. Coécrit avec Diastème et François Pirot, le scénario est centré sur une jeune femme autodestructrice qui vit seule avec sa fille de huit ans dont elle ne voit pas la souffrance et le goût pour l’alcool. Une nuit, après une rencontre en boite, la mère décide de partir et d’abandonner son enfant qui se retrouve livré à lui-même. Un rôle taillé sur mesure pour l’une des nouvelles reines de Cannes depuis plusieurs années.
notre avis // un certain regard

87
L’OISEAU DE PARADIS
Paul Aivanaa Manaté (france) 1er film

Ils sont très rares les réalisateurs français d’origine polynésienne. Remarqué pour ses précédents courts métrages passés par la Semaine de la Critique et Clermont-Ferrand, Paul Aivanaa Manaté a réussi à monter son premier film : un jeune assistant parlementaire amoral et séducteur revoit un jour une lointaine cousine maorie aux pouvoirs mystiques qui lui fait une prédiction : « Tu vas mourir… je te sauverai ». Une plongée sociale, sauvage et fantasmagorique.
notre avis // quinzaine des réalisateurs

86
CARAVAN
Sebastian Schipper (allemagne)

On le croyait préempter par la Berlinale. Point du tout. Le nouveau film de l’allemand Sebastian Schipper après son impressionnant Victoria est une des plus grosses attentes de l’année outre-Rhin. Road-movie en pleine crise des migrants avec le français Stéphane Bak, Caravan est un sérieux postulant à la compétition. On le garde au chaud en section Un Certain Regard dans nos pronos.
notre avis // un certain regard

Shéhérazade
Shéhérazade
Saturday Fiction
Saturday Fiction
Caravan
Caravan
Sibel
Sibel

85
SIBEL
Çağla Zencirci, Guillaume Giovanetti (turquie-france)

Retenez ce nom. Damla Sönmez. Elle pourrait bien faire partie des révélations cinéma cette année. Avec son regard à tomber et un rôle de femme muette livrée à elle-même dans les montagnes turques, ça pue le film de Croisette bien fagotté. Les deux réals sont passés par la sélection ACID avec leur premier long Noor en 2012.
notre avis // quinzaine des réalisateurs

84
SATURDAY FICTION
Lou Ye (chine)

Habitué des joutes festivalières, Lou Ye semble cette fois promis pour ce plus gros projet (film d’époque dans les années 1940 avec la star chinoise Gong Li, le japonais Joe Odagiri et le français Pascal Greggory) à une plus confortable place Hors Compétition.
notre avis // hors compétition

83
SHÉHÉRAZADE
Jean-Bernard Marlin (france) 1er film

Avec ce projet passé et primé via la voix royale de la Fondation GAN (Lauréat 2017), Jean-Bernard Marlin passe au long après son Ours d’Or du court métrage décroché en 2013 avec La Fugue. Distribué par Ad Vitam et tourné à Marseille, Shéhérazade conserve les thèmes et le style de prédilection de l’auteur : un casting presque exclusivement composé de non-professionnels et un style documentaire réaliste pour relater les méandres de la délinquance juvénile.
notre avis // quinzaine des réalisateurs

82
PETRA
Jaime Rosales (espagne)

Figure singulière et formaliste de la nouvelle vague du cinéma espagnol, le catalan Jaime Rosales est un habitué de la Croisette. La Solitude et La Belle Jeunesse ont tous deux connu les honneurs d’une sélection à Un Certain Regard. On ne sait que très peu de choses sur Petra son nouveau film avec Alex Brendemühl.
notre avis // quinzaine des réalisateurs

81
CAPHARNAÜM
Nadine Labaki (liban)

Caramel, Et maintenant on va où ?, Nadine Labaki est pour ainsi dire née à Cannes. Elle a attendu la naissance de sa fille début 2016 pour écrire le scénario de son nouveau film Capharnaüm. Mi-fable mi-documentaire, la cinéaste libanaise raconte une histoire tournée à Beyrouth sur les droits des enfants « Un enfant ne comprend pas pourquoi on l’a mis au monde et intente un procès ». On imagine bien Labaki faire partie des femmes postulant à une place de choix en sélection officielle et pourquoi pas en compétition ?
notre avis // compétition

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