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Cannes 2016, Elle malgré tout

22 mai 2016
Thomas
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L’heure du bilan a sonné. Cannes 2016 se prépare à rendre son verdict ce soir avec le Palmarès du jury de George Miller et consorts.

Compétition, dernière ligne droite. Difficile de commencer sa dernière chronique sur la catégorie reine sans parler de la catastrophe The Last Face, le dernier film de Sean Penn. De mémoire de festivalier rarement on aura connu pareille hallucination. Catastrophe industrielle, histoire à l’eau de rose sous couvert de mission humanitaire au Libéria, clip boursouflé pour l’ONG Médecins du Monde, distribution lamentable, le film est une lamentation de près de 2h. Musique « africaine » signée du pompier Hans Zimmer, Jean Reno en « Dr Love »,… rien mais alors rien ne nous est épargné. La farce est telle que les rires fusaient allègrement après certaines répliques : Charlize Theron à son beau Javier Bardem « Ce n’est pas parce que tu es rentré en moi, que tu me connais vraiment » (véridique). On en passe. Dingue.

sean-penn

À l’autre bout de l’échiquier, Elle de Paul Verhoeven. Variation en terre française du réalisateur Total Recall ou Starship Troopers. Virginie Efira, Laurent Laffite, Charles Berling, Anne Consigny : avec son casting de film d’auteur de seconde zone, Verhoeven perfore de l’intérieur ce genre bien hexagonal comme il l’avait en son temps avec Hollywood. En adaptant un roman de Philippe Djian et en confiant à Isabelle Huppert (dans une de ses prestations les plus hallucinatoires vues depuis longtemps) le rôle-titre, il réussit le coup parfait. Troublant, passionnant et même très drôle, Elle est de ces films qui surgissent en fin de Festival pour emporter avec lui l’enthousiasme de festivaliers sur les rotules. Sur le papier, qui aurait pu croire que Paul Verhoeven recevrait un tel accueil, alors que des Almodovar ou des Dardenne subissaient une célébration limite polie ? Elle ferait une bien belle Palme 2016. Pour clore le dossier Compétition, nous avons vu The Neon Demon de Nicolas Winding Refn (Drive), film le plus stylé du Festival 2016, et sa musique d’enfer signée Cliff Martinez, avec pour cadre un Los Angeles qui n’est pas sans rappeler Mulholland Drive de Lynch. Le geste de l’un des meilleurs faiseurs du cinéma actuel. Quoiqu’un peu vain, quelques scènes de The Neon Demon feront partie des images qui nous resteront de Cannes 2016. Un long clip porn-pop-lesbo-cannibalo-érotique et sanglant et une scène finale qui pourrait bien plaire à l’ami George Miller.

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Au rayon des bons films de compétition sans vraie surprise, Baccalauréat de Cristian Mungiu et Le Client d’Asghar Farhadi. Les deux auteurs ne renouvellent pas leur genre, qui les avaient fait rois en leur temps (Cannes pour le roumain, Berlin pour l’iranien), mais quelle intelligence. Foisonnant de trouvaille et d’inventivité dans sa mise en scène (Mungiu), ou scénario implacable à la tension de ces petits riens (Farhadi), ils réussissent ce qu’ils entreprennent. Même si l’on a un vrai appétit pour Baccalauréat, le Farhadi subit un peu les désagréments d’une certaine systématisation dans sa construction narrative, surtout quand on a bien en tête Une Séparation ou Le Passé. Finissons-en avec la course à la Palme d’or en signalant un film qui aurait pu (dû ?) y participer : La Mort de Louis XIV du catalan Albert Serra. Une merveille reléguée dans les anonymes séances spéciales. Comment a-t-on pu ne pas upgrader cette allégorie versaillaise avec le mythique Jean-Pierre Léaud en roi soleil. La chronique de la chute, sa prestation n’est pas sans rappeler ce qu’avait pu faire en son temps Michel Bouquet sur les planches dans Le Roi se meurt de Ionesco. Rarement nous aurons eu l’occasion pendant ce Festival de goûter une telle langue, dans un tel écrin. Toute la folie de l’iconoclaste Albert Serra (Honor de cavalleria, Le Chant des oiseaux) au service d’un grand tableau de maître. Avec aussi l’excellent Patrick d’Assumçao (L’Inconnu du lac) en parfait Fagon.

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Un Certain Regard et Quinzaine aux abonnés absents. Celles que l’on surnomme les anti-chambres de la Compétition ont déjà délivré leurs (semblants) de Palmarès. L’occasion d’un coup d’oeil sur deux sélections très décevantes cette année. Là où la Quinzaine s’offrait l’an dernier parmi les meilleurs films français 2015 (Desplechin, Faucon, Garrel), une suprématie confirmait quelques mois plus aux César, le cru 2016 est une  À la Quinzaine, les labels partenaires (SACD et Europa Cinemas notamment) ont choisi de distinguer les films de Solveig Anspach, Sacha Wolff (l’excellent Mercenaires dont on parlé dans notre dernière chronique) et Houda Benyamina avec Divines, l’une des plus belles baudruches de ce Festival : portée aux nues par toute une frange de la presse française.

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Porté aux nues par toute une frange de la presse française, Divines ne manque pas de souffle mais ne s’évite pas les affres du sempiternel film de banlieue. En reprenant des tics récents pour aborder le sujet -on regarde ça du côté des filles comme dans Bande de filles- et malgré une première demi-heure percutante (le générique façon story Snapchat marche à plein à ce niveau-là), le film se prend les pieds dans le tapis de ses clichés de scénario (l’appât sexy pour approcher le caïd, la danse comme exutoire et métaphore du dépassement de soi, l’épilogue façon Scarface suedé) et sont autant de limites rédhibitoires.

De mémoire de festivalier, nous n’avons pas souvenir d’un niveau si faible à Un Certain Regard ou Quinzaine des Réalisateurs : pas un seul film ou presque n’aurait pu prétendre à une sélection en Compétition. Quand l’an dernier des titres de Kiyoshi Kurosawa, Brillante Mendoza, Philippe Garrel, Arnaud Desplechin, Philippe Faucon, Apichatpong Weerasethakul, tous présents dans ces (sous) sections auraient pu y prétendre.

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100 films pour Cannes 2015 : #40-21

23 mars 2015
Thomas
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4è volet de notre revue des 100 films candidats pour une sélection sur la Croisette lors du 68è Festival de Cannes: les 20 films classés de 40 à 21.

#40 THE WITCH de Robert Eggers (US)

roberteggers

Et si le film le plus attendu de Sundance n’était pas celui que l’on croit ? On vous parlait plus bas dans le classement de Me and Earl and The Dying Girl, le dernier Grand Prix, mais c’est The Witch, le premier long métrage de Robert Eggers qui pourrait bien valoir la plus belle lutte inter-comités de sélection cannois. Produit par RT Features, la société de production brésilienne avec laquelle Martin Scorsese s’est associé pour promouvoir le cinéma d’auteur (responsables des derniers Ira Sachs, Kelly Reichardt, Noah Baumbach, et des prochains Gaspar Noé et James Gray), The Witch tiré du conte horrifique des « Sorcières de Salem », a valu à Robert Eggers le titre de Meilleur Réalisateur à Park City.
[notre avis: Quinzaine des Réalisateurs]

#39 EL CLAN de Pablo Trapero (Arg)

pablotrapero

El Clan, le nouveau film de Pablo Trapero (Leonera, Carancho, Elefante Blanco) est très attendu en Argentine. Pas seulement parce qu’il est signé du brillant chef de file de la cinématographie locale, El Clan relate l’histoire vraie du clan Puccio – les Corleone du coin – coupables d’avoir fomenté de nombreux enlèvements dans l’Argentine des années 1980. Le film est produit par les frères Almodovar déjà responsables des Nouveaux Sauvages en Compétition l’an dernier. Seule ombre au tableau, point de Martina Gusman à l’écran, la compagne de Trapero passe son tour cette fois.
[notre avis: Compétition]

#38 THE LAST FACE de Sean Penn (US)
« Cannes serait un endroit fantastique pour montrer le film, mais je ne sais pas, nous devons nous assurer de (le) finir d’abord, chaque chose en son temps. » Bluffeur le Sean Penn interrogé par USA Today le 16 mars dernier ? The Last Face c’est : le premier rôle américain pour la palmée Adèle Exarchopoulos, Charlize Theron filmée par son new boyfriend, et puis Javier Bardem. Autant de raisons d’inviter cette plongée en Afrique du Sud en pleine mission humanitaire à Cannes, plutôt Hors Compétition (Clôture ?).
[notre avis: Hors Compétition – Clôture]

#37 THE ENDLESS RIVER de Oliver Hermanus (AfSud)

oliverhermanus

Amour, repris de justice, vengeance, meurtre mystérieux : programme chargé pour The Endless River, le troisième film d’Oliver Hermanus, avec Nicolas Duvauchelle. Encore en mixage il y quelques jours, Oliver Hermanus, qui confiait sur Twitter soumettre le films aux comités de sélection cannois le week-end dernier, lorgnera sur un nouveau voyage sur la Croisette après Beauty en 2011 (Un Certain Regard).
[notre avis: Un Certain Regard]

#36 PEUR DE RIEN de Danielle Arbid (Lib-Fra)

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Aucun de ses trois premiers films n’a échappé à un focus festivalier (une fois Locarno et deux fois Cannes à la Quinzaine), la libanaise Danielle Arbid a terminé son 4è long métrage Peur de rien. L’itinéraire d’une jeune libanaise débarquant à Paris ou le portrait en creux de Danielle Arbid à travers les trois hommes qu’elle rencontre. Co-écrit avec Pierre Schoeller (L’Exercice de l’Etat), c’est Golshifteh Farahani qui prendra les traits du personnage principal face à Vincent Lacoste, Melvil Poupard, et Orelsan pour la première fois au cinéma.
[notre avis: Un Certain Regard]

#35 TRESPASS AGAINST US de Adam Smith (GB)
Star des video-clips (The Streets, The Chemical Brothers), Adam Smith réalise ici son premier long métrage. Centré autour d’une famille de marginaux, on attend énormément de Trespass Against Us et surtout de la confrontation à l’écran de deux acteurs majeurs, Michael Fassbender et Brendan Glesson. Pour couronner le tout, The Chemical Brothers signent la musique originale.
[notre avis: Quinzaine des Réalisateurs]

#34 L’OMBRE DES FEMMES de Philippe Garrel (Fra)

philippegarrel

25è film et la promesse inépuisable de Philippe Garrel : filmer une énième variation sur l’amour, le couple, Paris, le noir et blanc… Celui qui a sanctuarisé très tôt le tournage chronologique de ses scènes et les pellicules 35mm, s’est attaché les services de Jean-Claude Carrière pour l’écriture et d’un des grands serviteurs de la Nouvelle Vague, Renato Berta, chef op’ de Godard, Rohmer ou Resnais à la grande époque. Le (trop) rare Stanislas Mehrar y donnera la réplique à Clotilde Courau. Pour la première fois depuis 2001, le fils Louis ne fait pas partie de l’aventure, peut-être trop occupé avec son 1er long (dont on parlait ici dans ce classement #100pourcannes2015).
[notre avis: Un Certain Regard]

#33 SICARIO de Denis Villeneuve (Can)
Denis Villeneuve n’est venu que très dicrètement à Cannes (Quinzaine 2009 avec Polytechnique). Le réalisateur canadien à succès (Incendies, Prisoners) a souvent préféré la douceur de Toronto. Il pourrait bien en être autrement avec Sicario, son nouveau thriller avec Emily Blunt et Benicio Del Toro au coeur des trafics de drogues entre Mexique et Etats-Unis.
[notre avis: Hors Compétition]

#32 TOMORROWLAND de Brad Bird (US)

bradbird

Disney, qui a choisi Brad Bird le réal de Pixar (Les Indestructibles, Ratatouille) et de M:I-4 Mission Protocole pour mettre sur pied «l’extension» cinéma de ses célèbres Parcs aux US (Tomorrowland en est une attraction futuriste), a stratégiquement calé le lancement mondial du film pendant le Festival de Cannes. Hasard ou coïncidence ? Belle montée des marches potentielles avec Britt Robertson (Under The Dome), George Clooney et Hugh Laurie ?
[notre avis: Hors Compétition]

#31 EVOLUTION de Lucile Hadzihalilovic (Fra)

lucilehadzihalilovic

10 ans déjà depuis le glacial Innocence. 10 ans sans nouvelles ou presque cinématographiques de Lucile Hadzihalilovic. Cette « grande complice » de Gaspar Noé avait soufflé avec son premier long métrage par sa maîtrise, cadrée, intime, suffocante, pour dépeindre un mystérieux campus de jeunes filles. C’est la célèbre productrice Sylvie Pialat (Timbuktu) qui produit Evolution au beau milieu d’une île et ses mystérieuses expériences scientifiques sur les garçons…
[notre avis: Semaine de la Critique – Séance Spéciale]

#30 HIGH-RISE de Ben Wheatley (GB)

benwheatley

Changement de braquet pour le britannique Ben Wheatley (Touristes) avec High-Rise une adaptation de l’auteur SF J.G. Ballard (Crash). Un casting dingue – Tom Hiddleston, Jeremy Irons, Sienna Miller, Elisabeth Moss, Luke Evans et Stacy Martin – enfermés dans un gratte-ciel ultra-moderne et gigantesque dans l’Angleterre de Thatcher. Un Transperceneige en altitude ?
[notre avis: Compétition]

#29 MARGUERITE ET JULIEN de Valérie Donzelli (Fra)
On l’espère prêt à temps. Valérie Donzelli s’attaque à un bout d’histoire, l’un des plus célèbres faits de société du XVIIè siècle : les amours interdites de Marguerite et Julien Ravalet, frère et soeur. Donzelli a tourné fin 2014 dans le Château de Tourlaville, le lieu même du scandale. Les deux personnages seront portés par Anaïs Demoustier et Jérémie Elkaïm.
[notre avis: Compétition]

#28 IN THE ROOM de Eric Khoo (Sin)
6 couples, 6 époques des années 1940 à nos jours, 6 histoires d’amour et de sexe dans une même chambre d’hôtel. Voilà le procédé du nouveau film du singapourien Eric Khoo (Be With Me, My Magic, Tatsumi). Alors qu’on le croyait bien engagé sur The Charming Rose (dans notre classement l’an dernier), l’histoire de Rose Chan, figure des nuits de Singapour des années 1950 et 1960, le multi-sélectionné table sur un retour sur la Croisette avec In The Room.
[notre avis: Un Certain Regard]

#27 ICON de Stephen Frears (GB)
Pour ce premier film au cinéma sur le parrain controversé du vélo des années 2000 Lance Armstrong, l’ancien Président du jury cannois a choisi Ben Foster pour incarner le cycliste clinique. On connaît l’attrait de Thierry Frémaux pour les questions sportives, cet Icon est un candidat cannois idéal.
[notre avis: Hors Compétition]

#26 THE COMMUNE de Thomas Vinterberg (Dan)

thomasvinterberg

Point de Loin de la foule déchaînée ici – hors course pour Cannes 2015 sortant avant le Festival dans plusieurs pays, Thomas Vinterberg a enchaîné directement fin 2014 avec le tournage d’un projet beaucoup plus personnel The Commune. Malgré les timings très serrés, on fait le pari audacieux que Thierry Frémaux voudra coûte que coûte projeter cette « évocation d’une parenthèse enchantée des années 1970 au Danemark au cours desquelles liberté et communauté étaient synonymes de vie idyllique ».
[notre avis: Compétition]

#25 LA TÊTE HAUTE de Emmanuelle Bercot (Fra)
Après l’avoir filmée dans le road movie Elle s’en va (2013), Emmanuelle Bercot met de nouveau en scène Catherine Deneuve dans un tout autre emploi, juge pour enfants. Adolescence et délinquance, un milieu que Bercot connaît bien (La puce, Clément); elle qui, avec sa co-scénariste Marcia Romano, a effectué de nombreuses et longues recherches. Benoît Magimel et Sara Forestier complètent la distribution.
[notre avis: Un Certain Regard]

#24 BEASTS OF NO NATION de Cary Fukunaga (US)

caryfukunaga

Récemment remarqué pour son travail de réalisateur sur la série True Detective, Cary Fukunaga part en Afrique avec cette histoire d’enfant-soldat embrigadé de force auprès d’un chef terrifiant. Le chef, c’est Idris Elba (aussi coproducteur du film). Le nouveau mastodonte VOD Netflix  a d’ailleurs déjà lorgné sur Beasts of No Nation en voulant l’acquérir pour mettre un pied sur l’exploitation en salles. On en fait l’un des films américains les plus près de la Compétition.
[notre avis: Compétition]

#23 AN: SWEET RED BEAN PASTE de Naomi Kawase (Jap)

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Un an après Still the water, la grande perdante de la Compétition 2015, Naomi Kawase a déjà mis en boîte son nouveau film An : Sweet Red Bean Paste (le film est annoncé sur les écrans japonais pour le mois de mai) : une vieille femme atteinte de la lèpre voit les regards et les attitudes changer et évoluer face à elle… Une nouvelle sélection paraît bouclée pour l’une des plus grandes figures du cinéma d’auteur mondial.
 [notre avis: Compétition]

#22 MACBETH de Justin Kurzel (Aus)

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Il a connu Cannes du côté de l’Espace Miramar à la Semaine de la Critique (Court Métrage en 2005, Long Métrage en 2011 pour Snowtown), l’australien Justin Kurzel pourrait bien revenir par la grande porte cette année avec l’un des films dont on parle le plus depuis l’annonce de sa production : l’adaptation Macbeth avec Michael Fassbender et Marion Cotillard. Le trio Kurzel-Fassbender-Cotillard s’est tellement bien entendu qu’ils ont déjà dit « oui » pour une autre aventure, l’adaptation du jeu vidéo Assassin’s creed.
[notre avis: Compétition]

#21 MON ROI de Maïwenn (Fra)
Primé lors de son premier passage en Compétition (Polisse, prix du jury 2011), Mon Roi est le quatrième long-métrage réalisé par Maïwenn avec Emmanuelle Bercot et Vincent Cassel : un couple s’aimant d’un amour passionnel qui, suite à un blocage psychologique, va voir l’héroïne perdre l’usage de ses jambes.
[notre avis: Compétition]

A (re)lire >> les 20 films classés de 100 à 81.
A (re)lire >> les 20 films classés de 80 à 61.
A (re)lire >> les 20 films classés de 60 à 41.
A (re)lire >> les 20 films classés de 20 à 1.
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Cannes ou l’épiphanie cinématographique

4 janvier 2010
Thomas
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Comme à son habitude, et de façon assez immuable, le Festival de Cannes ouvre, de façon traditionnelle, le bal des informations cinématographiques avec l’annonce du nom du président de son prochain jury.

En 2007, le Président Sean Penn était annoncé le 3 janvier; en 2008 c’était le 2 janvier que l’Huppert présidente (comme l’avait appelée Olivier Séguret dans Libération), était rendue publique.

Thierry Frémaux et son équipe profitent en effet du trou d’air informatif de la trève des confiseurs pour imprimer un rythme, « son » rythme à l’agenda cinéphile mondial. Les supputations pour 2010 vont bon train, d’autant plus que l’épiphanie cinématographique a un peu de retard sur le rythme habituel (toujours pas de fumée blanche au matin du 4 janvier).

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Enfin, au petit jeu des pronostics, on mettrait bien une petite pièce sur l’ami Pedro Almodóvar, grand habitué de la Croisette mais surtout grand oublié de l’édition précédente avec Les Etreintes Brisées. Messieurs Jacob & Frémaux pourrait ainsi profiter de cette année sans film en course pour inviter la tête de liste des « souvent primés, jamais palmés ».

1999. Tout sur ma mère Prix de la Mise en Scène
2006. Volver, Prix du Scénario & Prix d’interprétation féminine ex-aequo

Alors…

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